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Mis à jour: 29 juin 2025
Le sujet de la Paix est au fond le même que celui des Acharnéens; seulement la paix qui dans cette dernière pièce n'est que le vœu d'un individu, est ici l'objet des désirs de tout le monde: dans les Acharnéens, le chœur était contraire
La Sicinnis était la danse des drames de Satyres, le Cordax était celle des comédies. Si l'on oubliait les phallophories, on ne s'expliquerait pas parfaitement Aristophane: elles seules vont rendre raison de certaines scènes des Acharnéens, de plusieurs passages de la pièce intitulée les Femmes aux fêtes de Cérès, et de Lysistrata presque tout entière.
Les quatre comédies politiques sont: Les Acharnéens, représentés 426 ans avant notre ère, la sixième année de la guerre du Péloponnèse. Les Chevaliers, 425 avant notre ère, septième année de la guerre. La Paix, 421. Lysistrata, 412. Aristophane est l'historien de la guerre du Péloponnèse aussi bien que Thucydide, quoique différemment. Pour mieux dire, il en est le pamphlétaire.
Pour qui étudie l'art de présenter la critique littéraire sous une forme vive et dramatique, cette scène des Acharnéens est un modèle. Or elle est comme le prélude des Femmes aux fêtes de Cérès et des Grenouilles.
La plupart des pièces d'Aristophane, les Acharnéens, Plutus, les Guêpes, et
Chaque comédie d'Aristophane contient ainsi une scène capitale, largement développée, où la question, soit générale, soit particulière, qui fait le sujet de la pièce, est posée, débattue et résolue, tantôt directement et au nom du poëte, s'exprimant par la bouche du coryphée dans cette partie du chœur qu'on nomme la parabase, tantôt indirectement par le dialogue et la dispute des personnages. Telle est la querelle de Dicéopolis et des Acharnéens; celle de Cléon et des Chevaliers; celle de Chrémyle et de la Pauvreté, dans Plutus; celle du Juste et de l'Injuste dans les Nuées; celle d'Eschyle et d'Euripide dans les Grenouilles; telle est ici celle de Philocléon et de Bdélycléon. De sorte que ces plans, si libres et si flottants au premier coup d'œil,
Vous avez encore dans la mémoire les scènes analogues des Acharnéens s'élançant contre Dicéopolis, des Chevaliers contre Cléon, des Guêpes contre Bdélycléon; mais ici la scène est plus fantastique: on dirait le combat des grues et des pygmées.
La première parle des vieux poëtes, comme celle des Acharnéens parlait des vieux soldats. Est-ce pour plaider sérieusement la cause des vieux poëtes, ou pour les railler? Il semble que ce soit l'un et l'autre tour
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