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Qu'est-ce que Falstaff? quel rapport a-t-il avec Camoëns?... D'où sort ce nom bizarre?... est-ce celui d'un poëte? d'un guerrier? Je me perds, ils se perdent, nous nous perdons en conjectures. Autres questions plus importantes et dernières: Nous venons de jouer un charmant opéra traduit de l'anglais, intitulé Maritana, l'auteur se nomme Wallace, le connaissez-vous?

Mon oeuvre est actuellement presque complète. Il me faudra, cependant, bien des années encore pour l'achever, et, comme ma santé est loin d'être bonne, mes amis m'ont conseillé de publier le résumé qui fait l'objet de ce volume. Une autre raison m'a complètement décidé: M. Wallace, qui étudie actuellement l'histoire naturelle dans l'archipel Malais, en est arrivé

Il n'est pas besoin qu'une foule soit nombreuse pour que la faculté de voir correctement ce qui se passe devant elle soit détruite, et les faits réels remplacés par des hallucinations sans parenté avec eux. Dès que quelques individus sont réunis, ils constituent une foule, et, alors même qu'ils seraient des savants distingués, ils prennent tous les caractères des foules pour ce qui est en dehors de leur spécialité. La faculté d'observation et l'esprit critique possédés par chacun d'eux s'évanouissent aussitôt. Un psychologue ingénieux, M. Davey, nous en fournit un bien curieux exemple, récemment rapporté par les Annales des Sciences psychiques, et qui mérite d'être relaté ici. M. Davey ayant convoqué une réunion d'observateurs distingués, parmi lesquels un des premiers savants de l'Angleterre, M. Wallace, exécuta devant eux, et après leur avoir laissé examiner les objets et poser des cachets ils voulaient, tous les phénomènes classiques des spirites: matérialisation des esprits, écriture sur des ardoises, etc. Ayant ensuite obtenu de ces observateurs distingués des rapports écrits affirmant que les phénomènes observés n'avaient pu être obtenus que par des moyens surnaturels, il leur révéla qu'ils étaient le résultat de supercheries très simples. «Le plus étonnant de l'investigation de M. Davey, écrit l'auteur de la relation, n'est pas la merveille des tours en eux-mêmes, mais l'extrême faiblesse des rapports qu'en ont faits les témoins non initiés. Donc dit-il, les témoins peuvent faire de nombreux et positifs récits qui sont complètement erronés, mais dont le résultat est que, si l'on accepte leurs descriptions comme exactes, les phénomènes qu'ils décrivent sont inexplicables par la supercherie. Les méthodes inventées par M. Davey étaient si simples qu'on est étonné qu'il ait eu la hardiesse de les employer; mais il avait un tel pouvoir sur l'esprit de la foule qu'il pouvait lui persuader qu'elle voyait ce qu'elle ne voyait pasC'est toujours le pouvoir de l'hypnotiseur sur l'hypnotisé. Mais quand on voit ce pouvoir s'exercer sur des esprits supérieurs, préalablement mis en défiance pourtant, on conçoit

M. Saint-George Mivart, zoologiste distingué, a récemment réuni toutes les objections soulevées parmoi et par d'autres contre la théorie de la sélection naturelle, telle qu'elle a été avancée par M. Wallace et par moi, en les présentant avec beaucoup d'art et de puissance. Ainsi groupées, elles ont un aspect formidable; or, comme il n'entrait pas dans le plan de M. Mivart de constater les faits et les considérations diverses contraires

Le troisième volume du Journal ot the Linnean Society, publié le 1er juillet 1858, contient quelques mémoires de M. Wallace et de moi, dans lesquels, comme je le constate dans l'introduction du présent volume, M. Wallace énonce avec beaucoup de clarté et de puissance la théorie de la sélection naturelle. Rud.

Nous chanterons de Coila les plaines et les collines, Les moors d'un brun rouge sous les clochettes des bruyères, Ses rives, ses pentes, ses cavernes, ses gorges, le glorieux Wallace Souvent remporta le succès, dit l'histoire, Sur les gars du sud. Au nom de Wallace, quel sang écossais Ne bouillonne pas comme une marée de printemps?

Pour l'histoire, lire le chapitre vii, the Story of Sir William Wallace, dans les Tales of a Grand Father, de Walter Scott, le chapitre II du tom I de the History of Scotland de Tytler, p. 48-82, les chapitres XX, XXI, XXII, de Hill Burton. Voir aussi une vie populaire, Wallace, the hero of Scotland, par James Paterson.

Je ne comprends pas non plus la portée de l'objection que M. Mivart soulève relativement aux «derniers degrés de perfection de l'imitation ou de la mimique», comme dans l'exemple que cite M. Wallace, relatif

M. Wallace a proposé une explication analogue pour le cas également complexe de certains papillons de l'archipel Malais dont les femelles présentent régulièrement deux et même trois formes distinctes. M. Fritz Müller a recours

N'y a-t-il pas de barde audacieux qui se lève et dise Comment le glorieux Wallace résista, puis tomba malheureux? sont réfugiées les Muses qui produiraient Un drame digne du nom de Bruce? Comment ici, ici même, il tira d'abord l'épée, Contre la puissante Angleterre et son monarque coupable; Et, après maint exploit sanglant, immortel, Retira son cher pays de la mâchoire de la Ruine? Oh! la scène d'un Shakspeare ou d'un Otway Qui montrerait l'aimable, la malheureuse reine d'