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Toutes ces observations appartiennent au commentaire historique . Le moral et le mystique qui viennent ensuite sont très-courts et assez insignifiants. De l

Murph, tel est le nom de ce personnage, avait cinquante ans environ; quelques mèches blanches argentaient deux petites touffes de cheveux d'un blond vif qui frisaient de chaque côté de son crâne presque entièrement chauve: son visage large, coloré, était complètement rasé, sauf des favoris très-courts, d'un blond ardent, qui ne dépassaient pas le niveau de l'oreille, et s'arrondissaient en croissant sur ses joues rebondies. Malgré son âge et son embonpoint, Murph était alerte et robuste. Sa physionomie, quoique flegmatique, était

Ça se compose de toutes sortes de pas: le bolero, la valse, la coûna, et beaucoup d'autres; le tout mélangé de pouchero. Allez! monsieur, vous verrez plus d'une jolie fille aux yeux noirs et avec de très-courts... Ah! diable!... de très-courts... comment appelez-vous cela en américain? Je ne sais pas de quoi vous voulez parler. Cela! cela, monsieur.

Et il me montrait la jupe de sa blouse de chasse. Ah! pardieu, je le tiens! Petticoes, de très-courts petticoes. Ah! vraiment, vous verrez, vous verrez ce que c'est qu'un fandago mexicain. Las niñas de Durango Conmigo bailandas, Al cielo saltandas En el fan-dango en el fan-dango. Ah! voici M. de Saint-Vrain. Il n'a sans doute jamais vu un fandago.

»Fanchette et moi nous ne nous refusions rien: mais que les instants du bonheur sont courts!... Oh! oui, très-courts!

Indépendamment de quelques poëmes très-courts, mais très-parfaits d'exécution, tels que le Cor, l'on retrouve l'instinct musical de son âme, et qu'il écrivit pendant un voyage dans les Pyrénées avec sa mère, et que voici: LE COR.

J'en reçois de deux jours l'un: elle m'écrit des billets très-courts, et qui ne m'apprennent rien de l'emploi de son temps. Ordinairement, nous ne nous quittons point de tout l'été, hormis pour les grandes fêtes religieuses, qu'elle va célébrer auprès de sa tante. L'hiver, nous nous séparons franchement. Je n'aime pas Chambéry. Je passe quelques mois

L'Esté de Groenland est tousjours beau, jour, & nuit; si l'on doit appeller Nuit, ce crepuscule perpetuel qui y occupe en Esté tout l'espace de la nuit. Comme les jours y sont tres-courts en Hyver, les nuits en recompence y sont tres-longues; & la Nature y produit une merveille, que je n'oserois vous escrire, si la Chronique Islandoise ne l'avoit escrite comme un miracle, & si je n'avois une entiere confiance en M. Rets, qui me l'a leuë, & fidelement expliquée. Il se leve en Groenland une Lumiere avec la nuit, lors que la Lune est nouvelle, ou sur le point de le devenir, qui esclaire tout le pays, comme si la Lune estoit au plein. Et plus la nuit est obscure, plus cette Lumiere luit. Elle fait son cours du costé du Nord,