United States or Czechia ? Vote for the TOP Country of the Week !


Je continuerai ma lettre demain; je t'écrirai du château de tes pères, et, ne pouvant être avec toi, je visiterai ces lieux témoins de nos premiers plaisirs.

Tu me parleras de toi, de ta peinture, de l'oncle Jean. Tes lettres me feront le plus grand plaisir, au contraire. Je sais que tu es pour moi une amie dévouée et, quand le coeur souffre.... Je m'arrêtai, vaincu par l'émotion. Ma cousine me répondit avec un soupir résigné: Je t'écrirai puisque tu l'exiges. Ton adresse? Poste restante,

Un officier m'apporte un tapis de ta part; il est un peu court et étroit; je ne t'en remercie pas moins. Je me porte assez bien. Le temps est fort variable. Mes affaires vont assez bien. Je t'aime et te désire beaucoup. Adieu, mon amie; je t'écrirai de venir avec au moins autant de plaisir que tu voudras. Tout

Adieu, Ernest, je pars pour le presbytère de *, d'où je t'écrirai dans quelques jours.

Adieu, cher frère de mon coeur. Je t'écrirai quand je pourrai. Toi, si tu as le temps, écris-moi. Tu sais si je t'aime, petit homme et grande âme! Gustave Papet. Juliette Rollinat, soeur de François Rollinat. Nohant, septembre 1832.

Je suis resté huit jours en France; les huit jours les plus douloureux de ma vie. Je t'écrirai de l

»D'ailleurs, ce n'est pas de toi, mais de moi que je veux te parler aujourd'hui. Je t'écrirai une lettre tout égoïste, et j'ai besoin de te confier tout, car aussi bien j'étouffe, et je me meurs d'ennui, de dégoût et de désespoir. Oui, ma chérie! et, si ça n'était pas trop bête, je crois que j'irais me jeter

Tant que j'aurai la force de vivre dans une situation aussi inhumaine qu'imméritée, je t'écrirai donc pour t'animer de mon indomptable volonté. D'ailleurs, les dernières lettres que je t'ai écrites sont comme mon testament moral.

Je t'écrirai de Guéret, et tu approuveras toute ma conduite... Parlons de toi; tu as donc des chagrins aussi?

Adieu, Lorenzo, adieu, je pars, et toujours plus loin... Je t'écrirai de Bologne dès aujourd'hui... Remercie ma mère, prie-la de bénir son pauvre fils... Ah! si elle connaissait mon état... Mais tais-toi! n'ouvre pas sur ses plaies une autre plaie... Bologne, 24 juillet, dix heures.