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Sur ce, chère enfant aimée, la famille vous envoie ses remerciements pour vos gâteries et vous renouvelle ses tendresses. Moi, je vous embrasse de coeur tous les trois. Nohant, 17 janvier 1869.

Angelo Beolco, dit le Ruzzante. Nohant, 29 décembre 1858. Oui, certainement, ma belle et bonne, ce que vous avez pensé et écrit, n'importe sur quoi, m'intéressera toujours vivement. Envoyez!

Pardon de mon griffonnage. Le temps me manque. Recevez l'expression de mes sentiments. Nohant, 31 juillet 1868.

J'ai reçu ta lettre; je suis bien contente que tu te portes bien. Ta soeur est toujours rose et de bonne humeur. Elle lit tous les jours; elle sort avec sa bonne, qui se tire très bien d'affaire, qui va au marché, nous fait la cuisine, et m'est plus utile que je ne l'espérais. Moi, je ne suis pas encore sortie. Je suis dans de grandes affaires que tu ne comprendrais pas, mais dont il te suffira de savoir que je suis assez contente. Ta soeur me tourmente pourtant depuis quelques soirs pour que je la mène au pestacle. Il fait si froid, que je n'ai pas le courage de sortir; je crains surtout qu'elle ne s'enrhume. Nous avons, quai Malaquais, 19, un appartement chaud comme une étuve. Nous voyons de grands jardins et nous n'entendons pas le moindre bruit du dehors. Le soir, c'est silencieux et tranquille comme Nohant: c'est très commode pour travailler. Aussi je travaille beaucoup. Il y a des tapis partout, ta soeur se roule comme un gros chien. Elle dit des sottises

Il serait temps d'avoir des lumières qui ne fussent pas des torches d'incendie. Nohant, 14 juillet 1863, au soir.

Il ne faut pas être Normand, il faut venir nous voir plusieurs jours, tu feras des heureux; et, moi, ça me remettra du sang dans les veines et de la joie dans le coeur. Aime toujours ton vieux troubadour et parle-lui de Paris; quelques mots quand tu as le temps. Fais un canevas pour Nohant

Un beau matin, sur le premier prétexte, elle se montre offensée, déclare son intérieur intolérable et demande une pension, pour partager sa vie entre Paris, elle fera métier d'écrire, et Nohant, elle retrouvera ses enfants.

Je suis dans une douleur inquiète aujourd'hui. Je vois, parmi les pendus de Varsovie, le nom de Piotrowski, et je ne sais pas si c'est celui qui s'était évadé miraculeusement de la Sibérie. Je le connaissais, c'était un héros. Savez-vous si c'est lui? Nohant, 28 décembre 1863.

Nohant, octobre 1853. B

Puisque Duvernet t'a dit que je quittais Nohant, il aurait pu te dire aussi, puisque je le lui ai écrit, que je ne le quittais pas d'une manière absolue, mais que je prenais seulement des arrangements pour passer, ainsi que Maurice et Lina, une partie de l'année