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«Au premier printemps les femelles sortent de la mer, et les mâles se trouvent sur le rivage pour les recevoir. Ils les saluent en soufflant l'air par les naseaux, faisant un bruit terrible, signal de bataille. Ces monstres se soulèvent sur leurs nageoires, engagent une mêlée générale, dans laquelle les dents formidables de leur large gueule font de terribles blessures. Couchées entour, les femelles sont les spectatrices du combat dont elles sont le prix; celui qui restera vainqueur sera leur époux, exerçant autorité absolue et se démenant avec fierté. Cependant, son domaine est sujet aux invasions; les frontières sont souvent franchies par de petits détachements; les mâles qui avaient été écartés une première fois, rôdent aux environs, font des signaux que met

Plusieurs des spectateurs en firent tout haut la remarque, et, s'il faut tout dire, les spectatrices celles du peuple surtout ne furent pas indulgentes.

A l'intérieur du club, on aurait dit d'un tonneau de harengs, tant les spectateurs et les spectatrices étaient nombreux et pressés les uns contre les autres.

Chez les oiseaux, cette lutte revêt souvent un caractère plus pacifique. Tous ceux qui ont étudié ce sujet ont constaté une ardente rivalité chez les mâles de beaucoup d'espèces pour attirer les femelles par leurs chants. Les merles de roche de la Guyane, les oiseaux de paradis, et beaucoup d'autres encore, s'assemblent en troupes; les mâles se présentent successivement; ils étalent avec le plus grand soin, avec le plus d'effet possible, leur magnifique plumage; ils prennent les poses les plus extraordinaires devant les femelles, simples spectatrices, qui finissent par choisir le compagnon le plus agréable. Ceux qui ont étudié avec soin les oiseaux en captivité savent que, eux aussi, sont très susceptibles de préférences et d'antipathies individuelles: ainsi, sir R. Heron a remarqué que toutes les femelles de sa volière aimaient particulièrement un certain paon panaché. Il n'est impossible d'entrer ici dans tous les détails qui seraient nécessaires; mais, si l'homme réussit

Les deux femmes qui avaient été comme moi spectatrices muettes de cette scène entre mademoiselle de Maran et M. Lugarto, s'en allèrent quelques instants après. Je restai seule avec mademoiselle de Maran. Longtemps et douloureusement contenue, mon indignation éclata enfin contre cette femme, qui avait osé calomnier ma mère d'une manière si atroce.

Jamais les carrousels et les ballets ne perdirent un cavalier plus magnifique et un danseur plus admirable. Les spectatrices ne perdoient pas un geste du triomphateur. Dès 1648 (ballet du 23 janvier), madame de Motteville fait son éloge. En 1656, au carrousel du Palais-Royal, près le palais Brion, elle enregistre ses hauts faits; elle le peint (t. 4, p. 371)

Auprès d'eux, les quais interdits des vieilles demeures continuaient de défiler; des femmes assises tout au bord les regardaient glisser, dans les rayons maintenant couleur de cuivre rouge, et ils s'amusaient en eux-mêmes de savoir que, pour les spectatrices voilées, leur passage, leur caïque avec ses nuances rares, devait faire bien, au milieu de cette apothéose du soleil couchant.

Tous deux restèrent étendus, Otto sur le filet, Zabette dans le coin de l'arène. Une clameur, un immense cri d'épouvante s'était échappé de toutes les poitrines, et beaucoup de spectateurs, ou plus justement de spectatrices s'étaient détournés pour ne pas voir cette chute ou s'étaient caché la tête entre leurs mains.

La reine et les princesses sortaient de leur demeure, et venaient au clair de la lune, en spectatrices nonchalantes, s'étendre sur des nattes.

Les femmes se retirèrent modestement de côté, et après avoir joué le premier rôle dans cette triste scène, elles en devinrent les simples et attentives spectatrices. Pendant tout le temps que durèrent les pieuses prières de David, il ne leur échappa ni un regard de surprise ni un signe d'impatience.