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Les de Sourches furent nombreux sous Louis XIV; ils étoient grands, blêmes, tristes. On ne les aimoit pas beaucoup. Le louvetier d'Heudicourt fit contre eux, en 1688, une chanson dont Saint-Simon (t. 5) a raconté l'effet sur Louis XIV et sur tout le monde. Elle obtint le plus grand succès d'hilarité. On la trouve dans le Nouveau Siècle de Louis XIV (de M. G. Brunet, p. 117). Quoiqu'elle ait perdu son charme aujourd'hui, on sent qu'elle a être gaie. Il s'agit de prendre de grands couteaux et de châtrer tous les Montsoreaux pour délivrer la cour de cette engeance. Exemple du style: Poulinière Monsereaux, Quand vous fîtes ces ragots, Preniez-vous plaisir

En 1685 il dut se faire traiter pour la fistule hémorrhoïdale (Sourches, t. 1, p. 82), non sans soupçon de quelque vieux vice italien. Sa femme,

À son allié le roi d'Angleterre, dit de Sourches, Louis XIV faisait redemander par son ambassadeur, M. de Bonrepos, les matelots huguenots qui s'étaient réfugiés en Angleterre, et les faisait redemander pour ses galères. Il tente d'obtenir une restitution analogue de la République de Gênes, et voyant qu'il n'a aucune chance de réussite, il fait féliciter son consul, d'avoir du moins fait courir le bruit que la demande était faite. Sa Majesté, écrit Seignelai, «a approuvé que vous ayez fait courir le bruit sous main, que vous avez ordre de demander

Née en 1727, elle épousa en 1743 Gabriel de Talleyrand, comte de Périgord. Anne d'Auxy de Monceaux, née en 1721 épousa en 1736 André de Rosset, duc de Fleury, descendant du cardinal. Elle fut nommée dame du palais de la reine en 1739. Louis-François du Bouchet, comte de Sourches, marquis de Tourzel, en 1744, chevalier de Malte, grand prévôt de France, marié en 1764

Elle eut une fille, la comtesse de Villefranche, et un fils, le comte Hector de Béarn. Souvenirs de quarante ans, première édition, 1861, page 32. Le cinquième enfant de madame de Tourzel fut Charles-Louis-Yves du Bouchet de Sourches , deuxième marquis de Tourzel et dernier grand prévôt de France.

Charles-Louis-Yves du Bouchet de Sourches eut, de son mariage avec mademoiselle Augustine de Pons, dernière du nom, qu'il épousa en 1796 (et qui a laissé, elle aussi, quelques pages très-intéressantes sur la Terreur), cinq enfants: Auguste, duchesse des Cars; Léonie, duchesse de Lorges; Hélène, comtesse d'Hunolstein; Roger, mort en bas âge, et Olivier, duc de Tourzel. Ce dernier épousa Anastasie de Crussol d'Uzès, dont il eut un fils qui mourut

Jean, marquis de Pompadour, fils de Léonard-Philibert, vicomte de Pompadour, chevalier des ordres en 1633. Henri de Baylens, marquis de Poyanne. Jacques Esthuer, comte de La Vauguyon, marquis de Saint-Mégrin, fils de Louis de Esthuer de Caussade, comte de Saint-Mégrin. Jean du Bouchet, marquis de Sourches. La baronnie de Sourches fut érigée en sa faveur en marquisat l'an 1652.

[Note 102: «Jean du Bouchet, marquis de Sourches (comte de Montsoreau), seigneur de Launay, etc., prévôt de l'hôtel du roi et grande prévôté de France, mourut le 1 février 1677. Il avoit épousé en 1632 Marie Nevelet, de laquelle il eut Dominique du Bouchet, mort

A l'avénement du roi Louis XVI, il sembla que de nouveaux jours allaient luire sur la France: beaucoup de familles qui s'étaient écartées de Versailles y revinrent, attirées par les vertus et le charme dont le jeune roi et la reine Marie-Antoinette donnaient le gracieux exemple. Le marquis de Tourzel remplissait ses fonctions héréditaires de grand prévôt avec l'austère exactitude qui semblait un apanage de sa race et dont les Mémoires du marquis de Sourches, actuellement en cours de publication, nous ont transmis le témoignage pendant le règne de Louis XIV. Le grand prévôt de France accompagnait la cour dans tous ses déplacements. A ce titre, il se trouvait avec le Roi

Les traditions de la famille ne nous ont conservé aucun détail précis sur les années qui suivirent le mariage de madame de Tourzel; nous savons seulement que son temps était partagé entre Paris et le magnifique château de Sourches, près du Mans, que son beau-père venait de faire construire. On sait en effet que M. de Sourches, pour mieux sauvegarder l'indépendance de son caractère, vécut, jusqu'