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Parmi les pièces historiques qui datent de la Fronde, la Bibliothèque nationale en possède une (Catal., t. 2, n. 3142) qui a pour titre: La défaite des troupes des sieurs de l'Isle-Bonne et du Plessis-Belière et Sauveboeuf par le comte de Lauzun, en Guienne (30 septembre), etc., 1652, in-4. Lauzun avoit juste vingt ans. Si c'est de lui qu'il s'agit, il commençoit bien. En 1660, aux fêtes de la Bidassoa, Antoine Nompar de Caumont est capitaine d'une compagnie des gardes

S'il en fallait croire les contemporains, la marquise, en amitié seulement avec Louis XV depuis 1652, aurait eu des bontés pour Choiseul. Après une excellente administration et des efforts pour relever la marine nationale, de laquelle dépendra toujours la prospérité de la France, le duc tomba du pouvoir en 1770. Mme de Pompadour n'était plus l

Dans l'été de 1652, Mlle Mance, anxieuse de savoir des nouvelles de M. de Maisonneuve alors en France, voulut se rendre

En 1652, madame de Bonnelle est amie de Mademoiselle (Montp., t. 2, p. 313). Sa maison est richement montée; il s'y donne des fêtes. La comtesse de Fiesque y vient comme chez elle; on y joue (Montp., t. 2, p. 341). Ce n'est pas assez dire: la maison de madame de Bonnelle (V. Loret) est la maison de jeu la plus considérable de ce temps-l

[Note 72: Voici ce que dit Guy Patin de la procession de 1652: «Je ne vis jamais tant d'affluence de peuple par les rues qu'

En 1652, comme si ce bon homme n'avoit pas fait assez d'extravagances de son chef,

Dunkerque était au pouvoir des Espagnols depuis 1652. Turenne, vainqueur de la Fronde sur tous les points de la France, fit le siége de cette ville en 1658. La flotte anglaise le secondait, car la politique avait décidé Louis XIV

Le 3 mars 1652, le beau poète Loret écrit dans sa Gazette: D'Olonne aspire

En 1650, Vardes est épris de madame de Lesdiguières (Retz, p. 206); en 1652, il combat dans le parti de la cour et a le poignet cassé

Jacques Nompar de Caumont, duc de La Force, vers 1559, mort le 10 mai 1652. On trouve dans le Mercure de novembre 1765, des Mémoires du maréchal de La Force, il retrace les événements dont il fut, dans cette journée, témoin et acteur. Voltaire en a donné un extrait dans les pièces justificatives,