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À moi, monsieur l'abbé? dit M. Hardy. Je sais, monsieur, reprit Gabriel, vos bontés pour mon frère adoptif; je sais votre admirable générosité envers vos ouvriers; ils vous chérissent, ils vous vénèrent, monsieur, que la conscience de leur gratitude, que la conviction d'avoir été agréable

«Pardon, mon cher général, si je vous ai entretenu si longtemps de mes intérêts, mais vos bontés m'ont inspiré de la confiance, et cette confiance, mon abandon.» «Rosette, 15 novembre 1798. «INSTRUCTION ENVOY

Monsieur, c'est trop de bontés, et soyez assuré que conseils et protection me sont bien précieux de votre part. A la bonne heure. Je continue donc: nous avons un rendez-vous et nous y allons? Oui, monsieur. Vers Saint-Denis, près d'Ormesson. A Ormesson même. Et cela ne peut se remettre? Oh! monsieur, jamais.... Crillon se retournant vers son quartier: Un cheval, dit-il.

M. d'Assigny, homme d'un mérite rare et d'une vertu parfaite, était alors sous-gouverneur des pages; ses soins, ses bontés et sa justice l'avaient fait chérir de ses élèves. Voulant prévenir un malheur, il appela devant lui les deux adversaires; mais ces jeunes gens, destinés

Je sais cela; aimer est ta religion. Pourquoi n'est-ce pas la mienne au même degré? Je serais heureuse, parce que je me sentirais acquittée envers ceux qui me comblent de bontés. Voil

Le soir, lorsque Julien paraissait en habit bleu, il n'était jamais question d'affaires. Les bontés du marquis étaient si flatteuses pour l'amour-propre toujours souffrant de notre héros, que bientôt, malgré lui, il éprouva une sorte d'attachement pour ce vieillard aimable. Ce n'est pas que Julien fût sensible, comme on l'entend

» Oui, Sophie aime beaucoup les femmes laidesreprend Chéri en souriant d'un air malin. » Madeleine ne demeure plus avec nous, répond Ernestine en soupirant. Comment!.... elle vous a quittés!..... une jeune fille pour qui vous aviez tant de bontés!

J'aurai l'honneur d'aller vous y remercier de toutes vos bontés, mon prince, répliqua le comte. Et amenez-moi toujours le vicomte, qu'il me suive ou ne me suive pas, ajouta le duc; il a ma parole, et je ne lui demande que la vôtre.

J'apprends, dans l'instant, qu'on va retrancher les rentes perpétuelles. Comme nous n'en avons ni l'une ni l'autre, je m'en console. Ma santé est mauvaise depuis quelque temps. Je me fis saigner hier; je prends de la limaille, je suis maigre; je me flatte que cela n'aura pas de suite. Adieu, Madame; honorez-moi toujours un peu de vos bontés: c'est une consolation

« bien la Prusse vous doit une indemnité. Je la ferai réclamer par voie diplomatique. « Oui, sire. Que de bontés!