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Et les deux héros s'étant rencontrés, Patroklos frappa dans le ventre l'illustre Thrasymèdès qui conduisait le char du roi Sarpèdôn, et il le tua. Et Sarpèdôn s'élança; mais sa pique éclatante, s'étant égarée, blessa

Et c'est ainsi qu'ils luttaient dans la rude mêlée. Et voici que la Moire violente amena, en face du divin Sarpèdôn, le grand et vigoureux Hèraklide Tlèpolémos. Et quand ils se furent rencontrés tous deux, le fils et le petit-fils de Zeus qui amasse les nuées, Tlèpolémos, le premier, parla ainsi: Sarpèdôn, chef des Lykiens, quelle nécessité te pousse tremblant dans la mêlée, toi qui n'es qu'un guerrier inhabile? Des menteurs disent que tu es fils de Zeus tempétueux, tandis que tu es loin de valoir les guerriers qui naquirent de Zeus, aux temps antiques des hommes, tels que le robuste Hèraklès au coeur de lion, mon père. Et il vint ici autrefois,

L'artiste n'a donc évidemment pas eu l'idée de représenter ce premier combat; passons au second. Cette fois, la lutte a lieu entre Sarpédon et Patrocle. Voici comment parle Homère. Nous demandons pardon

Il parla ainsi, et l'ombre de la mort couvrit ses yeux et ses narines. Et Patroklos, lui mettant le pied sur la poitrine, arracha sa lance, et les entrailles la suivirent, et le Ménoitiade arracha en même temps sa lance et l'âme de Sarpèdôn.

«Lorsque les deux guerriers se furent approchés en face l'un de l'autre, Patrocle frappa le courageux Trasymèle, qui était le meilleur écuyer de Sarpédon, et, lui lançant un trait dans le ventre, il le renversa

Ferrari, dans son Dictionnaire géographique, au mot Calycadnus, n'appelle point ce fleuve Saleph, mais Saleseus ou Salès, fleuve de Cilicie, qui traversait la ville de Séleucie, et se jetait dans la mer entre les promontoires Sarpédon et Zéphyrium. Cette épigramme, ou plutôt ce couplet, est de dix vers sur deux seules rimes.

Sarpèdôn parla ainsi, et il mordit l'âme de Hektôr, et celui-ci sauta aussitôt de son char avec ses armes, et, brandissant deux lances aiguës, courut de toutes parts

Ainsi parla Sarpédon. Maintenant, voici comment le neveu répond

Sarpèdôn parla ainsi. Et Tlèpolémos leva sa pique de frêne, et les deux longues piques s'élancèrent en même temps de leurs mains. Et Sarpèdôn le frappa au milieu du cou, et la pointe amère le traversa de part en part. Et la noire nuit enveloppa les yeux de Tlèpolémos. Mais celui-ci avait percé de sa longue pique la cuisse gauche de Sarpèdôn, et la pointe était restée engagée dans l'os, et le Kronide, son père, avait détourné la mort de lui. Et les braves compagnons de Sarpèdôn l'enlevèrent hors de la mêlée. Et il gémissait, traînant la longue pique de frêne restée dans la blessure, car aucun d'eux n'avait songé

Et les fils des Akhaiens accoururent avec de grands cris, espérant l'entraîner, et ils lancèrent d'innombrables traits; mais aucun ne put blesser le prince des peuples, car les plus braves le protégèrent aussitôt: Polydamas, Ainéias, et le divin Agènôr, et Sarpèdôn, le chef des Lykiens, et l'irréprochable Glaukos. Aucun ne négligea de le secourir, et tous tenaient devant lui leurs boucliers bombés. Et ses compagnons l'emportèrent dans leurs bras, loin de la mêlée, jusqu'