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De bon matin dans la campagne, avec Hadji-Abbas, pour aller avant l'ardeur du soleil visiter le tombeau du poète Saadi et le tombeau du poète Hafiz.

Nous regrettons qu'un homme érudit et cultivé, tel que sir Arnold, se soit rendu coupable d'une véritable trahison contre notre littérature. Sans cette erreur, son livre, sans être le moins du monde une œuvre de génie, ou même de haut mérite littéraire, aurait encore possédé une valeur durable. En somme, sir Edwin Arnold a traduit Saadi, et il faut que quelqu'un traduise sir Edwin Arnold.

et les Darwiniens sont présentés en «Mollahs de l'Occident» qui tiennent les fils d'Adam pour la descendance des limaces marines. Tout cela, c'est de la bonne plaisanterie, en son genre, une sorte de pantomime littéraire, mais les meilleurs endroits du livre sont la description du Taj même, qui est extrêmement soignée, et les diverses traductions de Saadi éparses dans le volume.

Voici également comment s'exprime Jordan Bruno: «Tanli nomini, che in terra hanno voluto gustare vita celeste, dissero con una voce: ecce elongavi fugiens et mansi in solitudine.» (Tous ceux qui ont voulu goûter sur terre la vie céleste, ont dit d'une voix: «Voici que je me suis éloigné en courant et je suis resté dans la solitude»). Saadi, le Persan, en parlant de lui-même, dit encore dans le Gulistan: «Fatigué de mes amis

Toutefois le cheik Saadi ne possède qu'un tombeau modeste; il n'a point, comme Hafiz, une dalle en agate, mais rien qu'une pierre blanche, dans un humble kiosque funéraire, et tout cela, qui fut cependant réparé au siècle dernier, sent déj

Mais voici un remarquable passage de Saadi: Lorsque la terre affolée s'agita dans les angoisses du tremblement de terre, avec les racines des monts il ceignit de près ses frontières. En ses rocs il enferma turquoise et rubis et

Lady Dufferin apparaît comme Lady Duffreen, la puissante Vice-Reine de la Reine ce qui est assurément un des vers blancs les plus terribles que nous ayons rencontrés depuis pas mal de temps sur notre route. M. Renan est «un prêtre du Frangestan» qui écrit un «français papillotant», Lord Tennyson un homme que nous honorons pour ses chants, plus grand que Saadi lui-même,

Plus loin est le tombeau de ce Saadi, qui naquit