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Dans la machine de M. Roth, elles sont indépendantes; l'une ne marche qu'après que celle qui la précède a accompli son mouvement. Le mécanisme de Pascal est fondé sur la transmission simultanée; celui de M. Roth, sur la transmission successive.
La première, c'est l'additionneur de M. le docteur Roth. Cette machine est fondée sur le même principe que celle de Pascal; mais ses roues ne marchent pas de la même manière. Dans la machine de Pascal, les roues se commandent, comme on dit en mécanique, elles marchent ensemble.
Le premier exige d'autant plus de force pour être manoeuvré, que les roues sont plus nombreuses; le second n'exige jamais que la même force, quel que soit le nombre des roues. En somme, la machine de M. Roth est une bonne machine pratique; malheureusement, elle ne peut servir que pour faire les additions.
Aujourd'hui, votre pêche est fort belle. Il y a surtout un brochet superbe. Il n'est pas mal, en effet. Combien le brochet? Ce qu'il vous plaira de le payer. Je vais, si vous le voulez bien, mettre mon poisson aux enchères, en gardant le brochet pour la fin. Pour la bonne bouche, traduisit un plaisant. Excellente idée! s'écria M. Roth.
«Monsieur Brusch? demanda un des assistants. Présent, répondit l'interpellé. Permettez-moi de me présenter. M. Claudius Roth, un de vos collègues de la Ligue Danubienne. Enchanté, monsieur Roth! Plusieurs autres de nos collègues sont ici, d'ailleurs. Voici M. Hanisch, M. Tietze, M. Hugo Zwiedinek, sans compter ceux que je ne connais pas.
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