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ROSINE, lui présentant la lettre. Vous voyez qu'avec de bonnes façons, on obtient tout de moi. Lisez-la. Cet honnête procédé dissiperoit mes soupçons si j'étois assez malheureux pour en conserver. Lisez-la donc, Monsieur. BARTOLO se retire. A Dieu ne plaise que je te fasse une pareille injure! Vous me contrariez de la refuser. Reçois en réparation cette marque de ma parfaite confiance.

Quand vin jour de représentation était arrêté, il n'y avait point relâche, mais souvent changement de spectacle, non pour cause d'indisposition ou d'une migraine d'actrice, comme cela arrive aux théâtres de Paris, mais pour des motifs plus sérieux; il arrivait souvent que M. d'Etieulette recevait l'ordre de rejoindre son régiment, qu'une mission importante était confiée au comte Almaviva; mais Figaro et Rosine restaient toujours

Tout le monde! répondit Rosine. Il est arrivé des choses épouvantables et on vous met tout sur le dos. Venez l

Avouez-moi plutôt que je vous fais horreur Et que vous m'exécrez, que mon amour vous blesse, Mais ne me plongez pas ce poignard dans le coeur D'avoir encor pitié de moi dans mon malheur. Vous me comprenez mal et j'en ai de tristesse, Failli pleurer, Stello. Maudite ma tendresse Qui fait naître une larme en un regard si doux! O ma reine! Oh! pardon! ROSINE, souriant.

LE COMTE, vivement. Que votre Tuteur vous a remise? ROSINE, fièrement. Oui, je lui en ai l'obligation. Dieux, que je suis heureux! Il la tient de moi. Dans mon embarras, hier, je m'en suis servi pour arracher sa confiance, et je n'ai pu trouver l'instant de vous en informer. Ah, Rosine! il est donc vrai que vous m'aimiez véritablement!...

Le récit de Rosine avait rendu

Je vais me retirer aux Ursulines, et je vois trop qu'il en est temps. Le pourriez-vous sans quelques regrets? Je suis sure, moi, que le jour du départ serait la veille des larmes. Eh! quand cela serait, Suzon; j'aime mieux le regretter que d'avoir la bassesse de lui pardonner; il m'a trop offensée. Rosine!...

BARTOLO, frappant du pied. Madame! Madame!... ROSINE tombe sur un fauteuil et feint de se trouver mal. Ah! quelle indignité!... Donnez cette lettre, ou craignez ma colere. ROSINE, renversée. Malheureuse Rosine! Qu'avez-vous donc? Quel avenir affreux! Rosine! J'étouffe de fureur! Elle se trouve mal. Je m'affaiblis, je meurs. BARTOLO,

Son fils, le gros Francis épousera la belle Hyacinthe et Rosine donnera une dot. Ah bah! Parole d'honneur! Ça lui arrachera l'âme d'abouler ses écus; mais qu'est-ce qu'elle ne ferait pas pour ce gros président? Mauvaise langue! Pauvre Michel! dit quelqu'un.

Sans les guérir, n'est-ce pas? C'est vous qui l'avez dit . Qui diable envoie ici ce maudit ivrogne? Je crois que vous me lâchez des épigrammes d'amour! Enfin, que voulez-vous? que demandez-vous? LE COMTE, feignant une grande colère. Eh bien donc, il s'enflamme! Ce que je veux? Est-ce que vous ne le voyez pas? ROSINE, accourant. Monsieur le Soldat, ne vous emportez point, de grace.