United States or Sint Maarten ? Vote for the TOP Country of the Week !


Parmi les vues de ces artistes, j'entre dans celle de présenter, en trois séances consécutives, tout le roman de la famille Almaviva, dont les deux premières époques ne semblent pas, dans leur gaîté légère, offrir de rapport bien sensible avec la profonde et touchante moralité de la dernière; mais qui, dans le plan de l'auteur, ont une connexion intime, propre

Aussi n'était-on pas étonné de voir Mme Grisi, soprano dramatique, créer Don Pasquale, Lablache se faire applaudir dans des rôles aussi différents que Leporello et le père de Desdémone, Mario dans le comte Almaviva et dans Jean de Leyde, du Prophète, qu'il a interprété

LE COMTE, élevant la voix. Ah! volontiers. Que le Comte Almaviva, qui restoit

LE COMTE ALMAVIVA, grand seigneur espagnol, d'une fierté noble, et sans orgueil. LA COMTESSE ALMAVIVA, très-malheureuse, et d'une angélique piété. LE CHEVALIER L

Eh! qui sait si son Excellence Madame la Comtesse Almaviva, l'exemple des femmes de son état et vivant comme un Ange avec son mari, quoiqu'elle ne l'aime plus, ne se ressentira pas un jour des libertés qu'on se donne

Lu et approuvé, le 25 janvier 1785. Signé, BRET. Vu l'approbation, permis d'imprimer, ce 31 janvier 1785. Signé, LE NOIR. LE COMTE ALMAVIVA, grand-Corrégidor d'Andalousie. M. Molé. LA COMTESSE, sa femme. Mlle Saint-Val. FIGARO, valet-de-chambre du Comte, et concierge du château. M. d'Azincourt. SUZANNE, première camariste de la Comtesse, et fiancée de Figaro. Mlle Contat.

et aussi pour fredonner de temps en temps un air tendre sous le balcon de quelque piquante Lisette andalouse, tandis que le seigneur comte Almaviva engluait les Rosines. Quant

Depuis la Renaissance, le monde, très complaisant pour les fautes du mari, ne trouve pas mauvais que la femme se venge de l'infidèle en le trompant. Tel n'est pas toujours l'avis du mari offensé. Comme certain personnage de l'Heptaméron, s'il veut que toutes les femmes soient légères, il en excepte la sienne; et, comme le comte Almaviva le sera en plein xviiie siècle, il est

Arrêtez, malheureux!... vous osez profaner!... tu m'adores!... Vas! tu n'es plus dangereux pour moi ; j'attendois ce mot pour te détester. Mais avant de t'abandonner au remords qui t'attend (en pleurant), apprends que je t'aimois; apprends que je faisois mon bonheur de partager ton mauvais sort. Misérable Lindor! j'allois tout quitter pour te suivre. Mais le lâche abus que tu as fait de mes bontés, et l'indignité de cet affreux Comte Almaviva,

Cet air altier et noble... Cette tournure grotesque... Je ne me trompe point, c'est le Comte Almaviva. Je crois que c'est ce coquin de Figaro. C'est lui-même, Monseigneur. Maraud! si tu dis un mot... Oui, je vous reconnois; voil