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Plauchut, répéta-t-il en épelant; oh! c'est un nom bien ordinaire!... Elle ne sourit même pas et lui rapporta le Lys rouge. Tenez. Avez-vous lu ça? Non, madame. Il ne lut pas le livre; mais il écrivit une belle lettre, une trop belle lettre en vérité; elle était malhabile et d'une niaiserie ingénue. Jamais de sa vie il n'avait écrit quelque chose d'aussi bête.

Le prince Francisco de Borja y Esquillache, qui cultivait la poésie avec succès, comme Xauregui, n'était pas moins amateur des œuvres de la peinture, dont il possédait de remarquables spécimens. Le duc d'Alba se faisait également remarquer par le même goût; il en était ainsi d'un grand nombre de nobles qui avaient rapporté ce goût d'Italie, et parmi lesquels on doit citer, d'après Pacheco : don Francisco de Castro, ambassadeur d'Espagne, puis vice-roi de Sicile, qui offrit quatre mille ducats d'un tableau du Corrège au cardinal Sforza, sans pouvoir l'obtenir; le duc d'Ossuna, qui rapporta plus tard, en 1629,

«M. Poncet arriva devant hier au soir fort tard de Fontainebleau, d'où il nous rapporta toutes les pièces, non-seulement que lui, mais encore que M. Colbert y avait portées,

Quoi qu'il en soit, comme le dit Charlevoix, «il eut beau vanter le pays qu'il avait découvert, le peu qu'il en rapporta, et le triste état ses gens y avaient été réduits par le froid et par le scorbut, persuadèrent

Ma bénédiction suit toujours le gars Qui eut pitié des esclaves de la Gaule, homme, Et, en dépit du diable, rapporta un rameau, D'au del

Si ce langage n'était pas rassurant, il avait au moins le mérite d'être parfaitement clair. Chacun se mit donc en quête de son côté, et s'occupa de rassembler ce qu'il put: Jadin, après une demi-heure de course dans les rochers, rapporta une espèce de colombe; Salvadore avait tordu le cou

Frétillon rapporta son panier plein

"On rapporta des ancres d'une grosseur surprenante, des canons, des boulets, des chaînes de fer, des habits fort étoffés, des couvertures, des selles de chevaux magnifiques, des épées d'argent, des tentes bien doublées, des fusils en abondance, de la vaisselle, des ferrures de toutes sortes, des cloches, des agrès de vaisseaux et une infinité d'autres choses." On en vendit pour 5000 livres.

Les généraux Ruchel (tué) et Blucher (qui ne s'est sauvé que par un subterfuge, en abusant de la bonne foi française), souscrivirent ce mémoire, qui était rédigé en forme de pétition au roi. Le prince Louis-Ferdinand de Prusse (tué) l'appuya de toutes sortes de sarcasmes. L'incendie gagna toutes les tètes. Le duc de Brunswick (blessé très-grièvement), homme connu pour être sans volonté et sans caractère, fut enrôlé dans la faction de la guerre. Enfin, le mémoire étant ainsi appuyé, on le presenta au roi. La reine se chargea de disposer l'esprit de ce prince, et de lui faire connaître ce qu'on pensait de lui. Elle lui rapporta qu'on disait qu'il n'était pas brave, et que, s'il ne faisait pas la guerre, c'est qu'il n'osait pas se mettre

Un de ses habitués, témoin de cette petite scène, la lui rapporta, en exagérant mon dévouement pour elle. Cette circonstance, quoique de très-peu d'importance, décida de son amitié pour moi. A dater de ce moment, elle ne perdit pas une occasion d'employer le crédit de ses amis puissants, en faveur de mes parents émigrés. Je lui dus la rentrée en France de mon oncle, le marquis de B..., brave officier de l'armée de Condé; et ce fut avec un vrai plaisir que je la retrouvai