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Il est beaucoup question de littérature dans la quatrième partie. Et voici les pensées qu'on y trouve: Les poètes primitifs aimaient la nature, et elle leur parlait. J'ai fait de la critique quand j'étais enfant, mais j'ai reconnu l'absurdité de cette occupation. La tragédie classique sent le renfermé. De l'air! de l'air! Le bon goût est une grille. Le critique est un eunuque, etc. Shakespeare est sublime. Brumoy est un âne. Le rire est une mitraille. Laharpe, Lebatteux, Patouillet, Rapin, Bouhours, etc., sont des ânes et des pourceaux. La nature fut la nourrice d'Homère et d'Hésiode. Tous les grands hommes et les penseurs sont insultés, Mazzini par Thiers, Washington par Pitt, Juvénal par Nisard, Shakespeare par Planche, Homère par Zoïle, etc..... Les poètes sont les guides du genre humain. Les sommets sont dangereux; on y a le vertige. Les grands hommes sont malheureux, parce qu'ils sont les enclumes sur lesquelles Dieu forge une âme nouvelle

Mais la belle Liliane jeta les hauts cris: Harrisson, un grand peintre? Ne m'en parlez pas! Qu'on ne m'en parle plus, d'Harrisson! Ah! un grand peintre, lui! Un rapin de quatrième ordre! Ah! bah! fit Montgomery enchanté. Un être qui exigeait trente-cinq séances de deux heures... trente-cinq... soixante-dix heures d'immobilité! D'immobilité? dit encore Montgomery. Complète!

L'église! Familière; mitoyenne, rue Saint-Hilaire, était sa porte nord, de ses deux voisines, la pharmacie de M. Rapin et la maison de Mme Loiseau, qu'elle touchait sans aucune séparation; simple citoyenne de Combray qui aurait pu avoir son numéro dans la rue si les rues de Combray avaient eu des numéros, et il semble que le facteur aurait s'arrêter le matin quand il faisait sa distribution, avant d'entrer chez Mme Loiseau et en sortant de chez M. Rapin, il y avait pourtant entre elle et tout ce qui n'était pas elle une démarcation que mon esprit n'a jamais pu arriver

Chose curieuse, l'abbé qui ne parle que de grand monde, qui se croit homme de qualité, tombe volontiers dans le vulgaire, par le bavardage étourdi, la sentimentalité triviale. Watteau, le fier rapin, sans vanité que de son art, est toujours noble, quoi qu'il fasse, par la finesse singulière, la pointe aiguë de son génie.

C'est un trait comme j'en vois dans la morale en action, poursuivit Guillerand. Messieurs, interrompit Rapin, il faut honorer la vertu partout on a le bonheur de la posséder; je propose donc que toutes les fois que Machecourt sera

Le commerçant haussa les épaules, et fourra sa main dans le pont de sa culotte: Parbleu! le tronc cachait mon étalage de porcelaines. Aussi bien le feuillage, ça rend trop humides les chambres de l'entresol! Philistin! Les bourgeois rirent. Le rapin tourna le dos en s'écriant: Vive le Roi! Vive Polignac!... A bas les perruques! Gare l

C'est la loge de la souriante Samary, c'est comme l'intérieur d'un rapin élégant, un intérieur, au plafond fait d'éventails japonais, attachés sur le châssis-blanc, aux croquis de Forain, au désordre de la toilette. C'est la loge de Madeleine Brohan, rappelant la chambre bourgeoise d'une femme de 1840, avec son élégance vieillotte, sa perse pauvre, ses photographies encadrées.

La lettre dont parle le père Rapin, et qui était si propre

Le rapin, il faut le croire, est libre et heureux aujourd'hui, mais il n'en était pas ainsi il y a cinquante ans. Le rapin était une espèce de vassal, d'esclave même, soumis aux volontés et

Non, non, interrompit Marcel, nous prendrons plutôt un domestique qui sera en même temps notre cuisinier. Vois un peu les immenses avantages qui en résulteront. D'abord, notre ménage sera toujours fait: il cirera nos bottes, il lavera mes pinceaux, il fera nos commissions; je tâcherai même de lui inculquer le goût des beaux-arts, et j'en ferai mon rapin. De cette façon,