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Après la tempête vient le charmant sestetto, Quest'è un nodo inviluppato; si frappant d'originalité: je l'admirais davantage autrefois; il me semble aujourd'hui avoir des longueurs vers la fin de la partie chantée sotto voce. Ce sestetto peut disputer la qualité de chef-d'œuvre de la pièce au charmant duetto du premier acte entre Ramire et Dandini, Zitto, zitto; piano, piano;

En regard de ce premier groupe de rois barbares se détachent les visages purs de Léonidas, de Thémistocle, des Bannis. L'antithèse du tyran et du héros se poursuit et s'accuse avec une netteté très expressive dans le Romancero du Cid, dans le Cid exilé. Le roi Ramire, le roi Sanche, le roi Alphonse servent de sombres repoussoirs

L'air de Ramire, quand il est amoureux et qu'il jure de trouver sa belle. Se fosse in grembo a Giove , est agréable et fort piquant; c'est un morceau brillant pour une jolie voix de ténor, cela est admirable dans un concert: sur quoi j'observerai que les imitateurs de Rossini ont bien pris sa rapidité, chose facile

Le duetto de Ramire, le prince déguisé de la Cenerentola , me console un peu de la cavatine de don Magnifico; cette grâce est encore un peu celle des Nina de la rue Vivienne, mais tout plaît dans une jolie femme, et la beauté fait oublier le ton vulgaire. Il y a du charme dans Una grazia, un certo incanto; je trouve beaucoup d'esprit dans Quel ch'è padre non è padre * Sta a vedere che m'imbroglio

La partie du ténor (Ramire) est d'une fraîcheur délicieuse et tout