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L'antécédent de ce pronom avait été mentionné pour la dernière fois

On dit morte, pour cessation de travail; le mot morte n'est pas françois dans ce sens. Moucher. Je mouche beaucoup; dites, je me mouche beaucoup, en redoublant le pronom de la premiere personne. Ce verbe exprimant une action, il faut faire connoître sur qui elle se fait: je mouche la chandelle. Mouchon.

La nature des langues indiennes permet de ne faire qu'un seul mot du nom, du pronom et de l'adjectif, et «ce composé peut ensuite prendre les formes du verbe, et subir tous les changemens et comprendre en lui-même toutes les relations que ces formes peuvent exprimer». Cette propriété a l'effet de varier

Moi. Ce pronom de la premiere personne, et les autres, occasionnent des erreurs dans la place qu'on leur fait occuper: donnez-moi-le, donnez-lui-le, sont des fautes communes; il faut savoir, pour les éviter, que le régime direct exprimé par le, la, les, etc., se place toujours avant le régime indirect; dites, donnez-le-moi; donnez-le-lui. On tombe encore dans une faute

S'il est quelque chose qui distingue les langues américaines, c'est le mode synthétique. L'Indien ne sépare pas les parties constituantes de la proposition qu'il énonce; il n'analyse jamais; ses pensées sont exprimées par groupes et font de suite un tableau parfait. L'absence de toute raison réfléchie, de toute analyse logique d'idées, forme le grand trait caractéristique des idiomes sauvages . Toutes les expressions doivent être définies, et les Algonquins ni les Iroquois, ne peuvent dire père, sans ajouter le pronom, mon, notre, votre père, etc,. Ils ont très peu de termes génériques. Chaque chose est désignée par un nom propre; ils n'ont pas de mots pour indiquer l'espèce, mais l'individu. Ils disent bien un chêne blanc, rouge; mais ils n'ont pas de terme pour exprimer simplement un chêne. Ils en ont une foule pour exprimer la même action modifiée par le changement d'objet. De l

«Très Auguste Souverain et Empereurcommença le prince Basile d'un ton solennel, en jetant sur son auditoire un regard qui semblait condamner d'avance celui qui aurait osé protester contre ces paroles. Personne ne souffla mot.... Moscou, la première capitale, la nouvelle Jérusalem, reçoit «son Christ», continua-t-il en appuyant sur le pronom, comme une mère qui entoure de ses bras ses fils pleins de ferveur, et, prévoyant,

Il m'est bien dévoué, répliqua Philippe en appuyant sur le pronom personnel. Fidèle comme un chien, mordant quelquefois. Si d'Artagnan ne vous reconnaît pas avant que l'autre ait disparu, comptez sur d'Artagnan

Les lèvres de M. de Ghiliac s'entr'ouvrirent dans un sourire d'ironie. Ah! quelque chose de fait uniquement pour "vous"? dit-il en appuyant sur le pronom, tandis que son regard railleur faisait un peu baisser les yeux changeants qui suppliaient. Voil

Ce vers renferme une faute contre la syntaxe de notre langue. Le pronom soi est indéfini, et par cela seul, ne convient pas dans une phrase le sujet est déterminé. Il falloit mettre: traînant tous les cœurs après lui. Boileau est aussi tombé dans cette erreur. On dit: chacun vit pour soi, et l'égoïste ne vit que pour lui.

Beaucoup de personnes ne savent point distinguer la conjonction et du verbe est; celui-ci prend ou peut prendre devant lui le pronom personnel il ou elle, et non pas l'autre; d'ailleurs, la conjonction a presque le son de l'e fermé, et le verbe a celui de l'e ouvert.