United States or Slovakia ? Vote for the TOP Country of the Week !


Un reste d'inquiétude les agitait. Que penserait-on dans le pays? Ils allèrent voir le notaire, un vieux renard toujours rasé de frais et pantalonné de noir. Le notaire entra en extase et demanda

J'allais déposer Clémentine je l'avais prise, elle fit un geste négatif. Eh bien, dit-elle, que penserait-on de moi? Il faut que tu me ramènes au perron. Mais on me demandera des explications. Dis ce que tu voudras: la vérité, si tu veux.

Oui, madame, s'écria sa vieille dame d'honneur, il faut sauver votre gloire; que penserait-on dans le monde, si vous déclariez qu'une monne est votre infante? Il n'est point naturel d'avoir de tels enfants, quand on est aussi belle que vousLa reine perdait patience de l'entendre raisonner ainsi.

Je n'ose pas fuir. Que penserait-on d'une conduite aussi inexplicable? Peut-être ferais-je mieux d'informer en quelques mots M. Pavelyn de mon départ. Pour cela, je ne dois qu'entrer et sortir.... La porte s'ouvrit, et j'entrai avec l'intention d'abréger mes adieux. La servante me conduisit jusqu'

Vous-même; la réflexion; le souci de votre réputation; que penserait-on, que dirait-on si, répondant

Je veux dire, insista-t-il, qu'il ne faut pas que vous paraissiez éviter les regards. Ce serait une faute immense, peut-être irréparable. Que penserait-on, si l'on vous voyait désolée et en pleurs? On penserait que vous êtes sûre de la culpabilité de votre fils, et ceux qui doutent encore ne douteraient plus. Il vous faut, du premier coup, conquérir l'opinion; car elle est souveraine, madame, dans les petits pays surtout, chacun vit sous le contrôle immédiat du voisin. L'opinion s'impose

Il rougit extrêmement, le malheureux homme, et ajouta: Ah! c'est pour un père un pénible aveu: je n'ai pas confiance en mon fils. Il ne sait de mes projets que ce que je lui en ai dit le jour de son arrivée... Maintenant, je le trompe comme s'il devait trahir... Peut-être serait-il sage de l'éloigner; mais que penserait-on?

Les centaines de feuilletons que Berlioz accumula pèsent moins pour sa gloire que vingt mesures de Roméo ou de la Prise de Troie. Si ces articles nous intéressent, c'est surtout parce qu'ils sont de la même plume qui a écrit d'admirables symphonies. Si nous les relisons, c'est que nous espérons découvrir dans les jugements du musicien le secret de son génie. Qui se soucie maintenant des opinions de Fétis et de Scudo, hors quelques curieux de l'histoire de la musique? Penserait-on

Que penserait-on dans le public, si l'on apprenait tout

Voyons, Rose, j'écoute. Que penserait-on de moi dans le pays, si je faisais ces esclandres-l