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Mais, garnement, lui fait saint Pierre, comment as-tu le front de vouloir entrer au saint paradis, toi qui jamais depuis vingt ans n’as récité tes prières; toi qui, lorsqu'on te disait: "Jarjaye, viens

Orgueilleux, entêté, caboche de mulet, comme tu me ressemblais! dit-elle. Mais toi, grison, tu ne veux point vieillir. Certes, Breugnon, mon ami, tu n’as point embelli, tu as les pattes d’oie, ton nez s’est élargi. Mais comme tu ne fus beau en aucun temps de ta vie, tu n’avais rien

Tu plaisantes, Conchita... ce n’est pas possible... Tu n’as vu personne, dis-le-moi? Ah! tu ne me crois pas? Comme il te plaira... Alors je ne te dirai jamais ce qui s’est passé ensuite. Dis-le-moi immédiatement! m’écriai-je en lui saisissant le bras.

Mons Paillard répondit: Compère, «œil un autre œil voit, et non soi». Tes paroissiens sont fous, c’est certain. Mais toi, es-tu plus sain? Curé, tu n’as rien

Va-t’en, Mateo. J’ai tout ditJe restais immobile comme une pierre. Elle me répéta: «Va-t’en! Tu n’as pas comprisPuis, comme je ne pouvais ni parler ni partir, la langue sèche et les jambes glacées, elle se rejeta vers l’escalier, et une sorte de furie flamba dans ses yeux. «Tu ne veux pas t’en aller! cria-t-elle. Tu ne veux pas t’en aller? Eh bien! tu vas voir

Ils répliquaient: Petit, tu parleras lorsque j’aurai parlé. D’abord, tu n’as rien de plus intéressant

Qu’est-ce donc qui t’amène? Moi? Rien, fis-je avec aplomb, rien, je me promène. Tu es donc bien riche, dit-elle. Riche, non de pécune, mais de ma fantaisie. Tu n’as pas changé, dit-elle, tu es toujours le même fou. Qui fol naquit jamais ne guérit. Nous entrâmes dans la cour. Elle referma la porte. Nous étions seuls, au milieu des poules qui caquetaient.

Son regard sérieux et madré m’écoutait. Elle hocha du nez et fit: Tu dis vrai, Jacquet. Je le sais, je le sais, tu es un grand vaurien. Sans doute, fis-je, sans doute... Tu n’as pas l’air convaincu. Je le suis, dis-je. Tout de même de ce double bonheur faut savoir se passer.

Elle s’assit en face de moi, frappa dans ses mains pour attirer le garçon et cria: «Tonio! une tasse de caféPuis, avec une tranquillité exquise, elle supporta mon regard. Je lui dis, d’une voix très basse: «Tu n’as donc peur de rien, Concha? Tu n’as pas peur de mourir? Non! et d’abord ce n’est pas vous qui me tuerez. Tu m’en défies?