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Lui, chante plus qu'il ne peint . Chantefable un peu naïve et Clartés évoquent des cahiers de lieder. Mockel se maintient constamment, selon l'expression imagée de Tancrède de Visan, en état «d'aspiration lyrique».

Il est un poète dont l'œuvre critique importe presque autant que l'œuvre lyrique, Albert Mockel. Je retiens seulement les Propos de Littérature (études sur Francis Vielé-Griffin et Henri de Régnier) et trois plaquettes consacrées

Entre Charles van Lerberghe et Albert Mockel qui l'aima au point de lui consacrer l'une des études les plus ferventes que je connaisse, l'amitié n'était pas le seul lien. Leurs talents voisinent et Mockel peut légitimement représenter aujourd'hui le poète disparu. Albert Mockel, l'un des tout premiers, écrivit en vers libres et je n'en vois point qui se soient autant inspirés de la musique.

Mockel a l'esprit précis, méticuleux, avide des finesses les plus subtiles; pour atteindre un but, il répugne aux lignes droites, les chemins compliqués lui plaisent qui invitent

Mockel, écrit son distingué commentateur , par sa thèse de l'aspiration poursuivie

L'onde fuyante, dont maintes pages de Mockel décrivent le cours, prend la signification d'un symbole essentiel.

Telle est la Chanson d'Ève. «Poète de l'ineffable», écrit Albert Mockel, de Charles van Lerberghe: on ne saurait mieux dire. Chez lui, tant de trésors échappent

Histoire de la Littérature belge d'expression française. Bruxelles, Vanderlinden, 1910. Mockel (Albert).

La Tragédie de Macbeth. Paris, Fasquelle, 1910. L'Oiseau Bleu. Paris, Fasquelle, 1911. Mockel (Albert). L'Essor du Rêve (plaquette), 1887.