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Comme Rodenbach terminait ses études au collège des Jésuites de Gand, trois jeunes gens y entraient que les muses devaient bientôt distraire de travaux plus arides. Maurice Maeterlinck, Grégoire Le Roy, Charles van Lerberghe avaient entre eux d'autres affinités que celle de l'âge. Ils suivaient les cours de l'Université de Gand en 1886, et venaient de publier leurs tout premiers vers

Quant au doux Charles van Lerberghe, il confie son paganisme

Paris, Ollendorff, 1909. La Chanson du Carillon. Paris, Lafite et Cie, 1911. Lerberghe (Charles van). Les Flaireurs (drame). Paris, Mercure de France.

Et, en effet, dans ce délicieux poème, Van Lerberghe se gardera de rien préciser, il suggérera les sensations grâce

Charles van Lerberghe avait donné dès 1889, un petit drame symboliste, Les Flaireurs, dont nous parlerons au prochain chapitre, puis, pendant neuf ans, il se tut. En 1898, parurent les Entrevisions. Petits poèmes suaves, d'une musique délicieusement fraîche, clairs et naïfs, tels certains tableaux de primitifs, vous semblez composés pour des vierges, vous êtes des poèmes blancs!

Entre Charles van Lerberghe et Albert Mockel qui l'aima au point de lui consacrer l'une des études les plus ferventes que je connaisse, l'amitié n'était pas le seul lien. Leurs talents voisinent et Mockel peut légitimement représenter aujourd'hui le poète disparu. Albert Mockel, l'un des tout premiers, écrivit en vers libres et je n'en vois point qui se soient autant inspirés de la musique.

Telle est la Chanson d'Ève. «Poète de l'ineffable», écrit Albert Mockel, de Charles van Lerberghe: on ne saurait mieux dire. Chez lui, tant de trésors échappent

Paris, Mercure de France, 1899. Clartés. Paris, Mercure de France, 1901. Charles van Lerberghe. Paris, Mercure de France, 1904. Contes pour les Enfants d'hier. Paris, Mercure de France, 1908. Deuxième série: Paris, Savine, Bruxelles, Vve Monnom, 1889. Histoire des Lettres belges d'expression française, 2 vol. Bruxelles, 1892. Le Foyer et les Champs. Paris, Victor Palme. Bruxelles Lebrocquez, 1877.

Les photographies de Charles van Lerberghe donnent assez bien l'impression d'un officier énergique; en réalité, il fut un timide et un faible; cet homme

Tous ces écrivains, qu'ils se nomment Lemonnier, Demolder, Giraud, Verhaeren, Rodenbach, Van Lerberghe, qu'ils descendent de Rubens, Van Dyck, ou Memling, qu'ils silhouettent des béguines frôlant