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Le lendemain de la bataille de la Moskowa. Aspect du champ de bataille. Moscou! Moscou! Fausse alerte. Saxons revenant de la maraude. La sentinelle au cri d'alerte. Qu'ils viennent; nous les voirons! Le verre de vin de Chambertin. Le duc de Dantzick. Entrée dans Moscou. Marche silencieuse de l'armée. Les mendians moscovites. Réflexion. Les lumières qui s'éteignent aux fenêtres. Logement de l'empereur

Il me souvient de l'avoir veu une fois en une grande peine. Je le trouvay en place de Sorbonne querellant avec un autre autheur, qui, entr'autres injures, luy reprocha tout haut qu'il étoit un caymand de gloire, et que de tous costez il en alloit mendier. Ce dernier mot fut ouy par des archers qui cherchoient tous les mendians pour les mener

Dans le royaume de Barsalli ou Boursalum, il n'y a que le roi et sa famille qui aient le droit de coucher sous des espèces d'étoffes qui servent de défense contre les mouches et les mosquites. L'infraction de cette loi est punie de l'esclavage. Un Iolof qui aurait la hardiesse de s'asseoir sans ordre sur la même natte que la famille royale, est sujet au même châtiment. L'orgueil et la tyrannie siégent donc sur des nattes comme sur la pourpre! Mais, malgré tant de hauteur, les princes iolofs sont des mendians si peu capables de honte, que, s'ils aperçoivent

Le lendemain de la bataille de la Moskowa. Aspect du champ de bataille. Moscou! Moscou! Fausse alerte. Saxons revenant de la maraude. La sentinelle au cri d'alerte. Qu'ils viennent; nous les voirons! Le verre de vin de Chambertin. Le duc de Dantzick. Entrée dans Moscou. Marche silencieuse de l'armée. Les mendians moscovites. Réflexion. Les lumières qui s'éteignent aux fenêtres. Logement de l'empereur

18 août. Suppression de tous les ordres réguliers, mendians, monastiques, et même ceux astreints

Chez les tribus indiennes, les ramifications des familles étaient étendues et se suivaient fort loin. Des liens étroits resserraient ainsi toute la peuplade. L'on avait le plus grand respect pour ses parens; et les noeuds du sang étaient sacrés, tellement que le frère payait la dette du frère décédé, et embrassait sa vengeance comme si elle eût été la sienne propre. Les mendians étaient inconnus.

Il est vray qu'ils se font fort peu souvent du tort les uns aux autres; mais encore, s'y en pourroit il trouver de meschans, qui vous feroient du desplaisir s'ils en trouvoient l'occasion, car l'object, esmeut la puissance, dit le Philosophe, & l'occasion faict le larron. Des exercices ordinaires des Hurons, & des pauvres mendians & vagabons, & comme les Canadiens cabanent & courent les bois.

Les mendians, bien entendu, y étaient par centaines, parmi lesquels on distinguait quelques soldats errans qui se disaient arriver de la Palestine. Des colporteurs offraient leurs marchandises, des ouvriers demandaient de l'ouvrage, des pèlerins vagabonds, des prêtres de toute sorte, des ménestrels saxons, des bardes errans du pays de Galles, murmuraient des prières et arrachaient quelque hymne de leurs harpes et autres instrumens. L'un dans un panégyrique lamentable faisait entendre les louanges d'Athelstane, un autre dans un long poème généalogique en vers saxons, citait les noms durs et désagréables de ses nobles ancêtres. Les jongleurs, les bouffons, ne manquaient pas, et la cause de cette réunion ne paraissait pas devoir interrompre l'exercice de leur profession: au fait, les idées des Saxons sur ce sujet étaient aussi naturelles que grossières; si le chagrin altérait, il fallait boire; s'il affamait, il fallait manger; s'il attristait, il fallait s'égayer, ou au moins se distraire. Les assistans ne manquaient pas de profiter de tous ces moyens de consolation; seulement de temps

Les evesques & bonnommeaulx Les papes & simples convers Les mendians les cardinaulx Patriarches & peres chaulx Tous sont la gisant a l'enveres La mort les fait menger aux vers Et sont leurs os sy tressemblables Qu'ilz ne sont point recongnoissables

Ce ne font pas, bien le recors, Li mendians poissans de cors, Qui se vont partout embatant, Plus qu'il puéent chacun flatant, Et le plus let dehors démonstrent A tretous ceus qui les encontrent, Et le plus bel dedens réponnent Por décevoir ceus qui lor donnent; Et vont disant que povres sont, Et les grasses pitances ont, Et les grans deniers en tresor.