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A leur retour, ses gens lui annoncèrent qu'ils avaient été assaillis et repoussés par une forte troupe d'hommes armés, avec une perte de six de leurs camarades. Cette nouvelle affligea d'autant plus Sébastien, que le scorbut ravageait son équipage, et qu'on avait laissé en arrière les petits vaisseaux qui naviguaient de conserve avec le Matthew.

Signatures: E. S. Burd. Tho. van Zandt. Jared Sparks. Matthew Morgan. Eugène Avail. M. Brimmer. F. P. Corbin. Robert Walsh. Andrew Ritchie. Herman Thorn. Robert Baird. Gas. M. Gibbs. Léonard Hoods, profes. of Brunswick collège, Maine. Henry Seybert. R. N. Gibbes. H. L. Preston. M. Smiller. H. G. Dyar. Charles J. Biddle. E. C. Biddle. J. Randolph. J. Archer. W. van Reusslaer. Tho. Warner.

Pleure-le, toi Soleil, grande source de lumière, Pleure, impératrice de la nuit silencieuse! Et vous, brillantes, scintillantes petites étoiles, Pleurez mon Matthew! Car

Petit essai sur les moeurs du Palais-Royal. "Matthew. Savez-vous que vous avez l

Le tempérament de Keats, les états d'esprit de Matthew Arnold ont influencé M. Ghose: pouvait-il y avoir une influence meilleure pour un débutant. Voici quelques stances d'une autre poésie de M. Ghose.

Je n'ai jamais lu son Faust, car je ne sais pas l'allemand; mais Matthew Lewis, en 1816,

Si beaux que soient des livres comme Consuelo, comme Mauprat, François le Champi, et la Mare au diable, il n'en est aucun qui l'exprime d'une manière adéquate, aucun qui la révèle d'une manière adéquate. Ainsi que l'a dit, il y a bien des années, M. Matthew Arnold, nous «sentons par derrière ces livres l'esprit qui se meut dans toute son œuvre».

Ailleurs, c'est le gros capitaine Grose , le bon Matthew Henderson , le major Logan qui joue du violon, dont «le coude marche et se trémousse ,» «la face latine de Gregory », «Creech le libraire», «un petit homme, droit, vif, aigre trottinant », Qui regarde avec amour sa petite ombre leste dans les rues Plutôt que la plus jolie femme qu'il rencontre .

En 1831, M. Patrick Matthew a publié un traité intitulé Naval Timber and Arboriculture, dans lequel il émet exactement la même opinion que celle que M. Wallace et moi avons exposée dans le Linnean Journal, et que je développe dans le présent ouvrage. Malheureusement, M. Matthew avait énoncé ses opinions très brièvement et par passages disséminés dans un appendice