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L'exposition centennale était précisément aux mains de M. Antonin Proust, directeur, secondé, pour le choix et le placement des tableaux, par M. Roger Marx, inspecteur des Beaux-Arts. Tous les deux, comme admirateurs de Manet, allaient placer ses oeuvres en vue, dans le salon principal. C'était un redoutable honneur. Il lui faudrait entrer dans le rang des maîtres du siècle entier et être jugé en parallèle avec eux. Les oeuvres exposées étaient au nombre de quatorze; au premier rang: l'Olympia, le Fifre, le Bon Bock, l'Argenteuil, le Portrait de M. Antonin Proust, Jeanne. Ces tableaux soutenaient avantageusement la comparaison avec ceux des plus grands du siècle. Tout ce public spécial de peintres, de critiques, de connaisseurs, de gens de goût devait maintenant reconnaître, sans réserves, la maîtrise de l'homme qui les avait produits. L'Exposition universelle amenait les étrangers, dont le jugement était encore plus favorable. Les jeunes peintres du dehors faisaient tout spécialement de ses oeuvres l'objet de leurs études et de leurs observations. Les connaisseurs, en particulier des

Naturellement, mais personne ne veut la révolution pour la révolution elle-même, chacun sait que la révolution n'est qu'un moyen et non pas le but. Mais le point de vue de Marx en ce temps-l

Boeticher est un excellent Saint-Bris; Zsische remplit avec talent le rôle de Marcel, sans posséder toutefois les qualités d'humour dramatique qui font de notre Levasseur un Marcel si originalement vrai. Mademoiselle Marx montre de la sensibilité et une certaine dignité modeste, qualités essentielles du caractère de Valentine. Il faut pourtant que je lui reproche deux ou trois monosyllabes parlés qu'elle a eu le tort d'emprunter

D'étranges révélations ont cependant été faites au sujet de la situation de Marx vis-

Autant que qui que ce soit, je respecte Marx. Son esprit génial a fait de lui un Darwin sur le terrain économique. Qui donc ne rendrait volontiers hommage

Mercredi 24 octobre. Ce matin, Roger Marx vient m'annoncer qu'une rue de Nancy a été baptisée, non rue Edmond de Goncourt mais rue des Goncourt, ainsi que je l'avais demandé. Puis il m'annonce gentiment, que mes amis veulent me donner un banquet, chaque souscripteur recevra une médaille du profil, qu'a modelé, cet été, le sculpteur Charpentier.

Et c'est précisément le congrès d'Erfurt qui nous a donné la profonde conviction que l'Allemagne ne reprendra pas pour son compte le rôle libérateur traditionnel de la France. Nous sommes plutôt de l'avis de Marx lorsque celui-ci dit que «la révolution éclatera au chant du coq gaulois

J'ai parlé avec quelques-uns d'entre eux, aussi; des députés, des journalistes, des rien du tout. Un professeur qui a quitté la chaire pour la tribune, au grand bénéfice de la chaire; pédant plein d'enflure, boursouflé de vanité, les bajoues gonflées du jujube de la rhétorique. Un autre, croque-mort expansif, grand- prêtre de l'église de Karl Marx, orateur nasillard et publiciste

Certes, Marx a se retourner dans son tombeau quand il a entendu défendre pareilles hérésies par des disciples qui ne jurent que par son nom. Il en est de Marx comme du Christ: on le vénère pour avoir la liberté de jeter ses principes par dessus bord. Le mot «également» vaut son pesant d'or. C'est comme si l'on voulait dire que, sous forme d'appendice, le pouvoir économique sera acquis également. Est-il possible de se figurer la toute-puissance politique

Marx et Engels reconnaissent donc la violence comme facteur révolutionnaire, et nous avons vu que Liebknecht l'appelle un facteur réactionnaire. N'est-il pas en complète opposition avec les deux premiers? Alors, ce Marx était un charlatan, un hâbleur révolutionnaire, un Maulheld pour employer un qualificatif en honneur parmi les militants allemands.