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Fruitières, grainetières, cabaretières, boulangères, marchandes d'œufs et d'ail! Frappez, tirez et déchirez, criez et engueulez! Assez! bon! arrêtez! ne les dépouillez pas! Hélas! mes archers en déroute! Ah! ah! tu croyais donc n'avoir affaire qu'

Hugues marchait toujours, aimanté, comme dans un rêve, aux côtés de l'inconnue ou derrière elle, sans même s'apercevoir qu'après les quais solitaires, ils avaient atteint maintenant les rues marchandes, le centre de la ville, la Grand'Place la Tour des Halles, immense et noire, se défendait contre la nuit envahissante avec le bouclier d'or de son cadran.

Le lendemain matin se leva fort déplaisant pour un voyage, sombre, humide et crotté. Les chevaux des diligences qui passaient fumaient si fort que les passagers de l'extérieur étaient invisibles. Les crieurs de journaux paraissaient noyés et sentaient le moisi; la pluie dégouttait des chapeaux des marchandes d'oranges; et, lorsqu'elles fourraient leur tête par la portière des voitures, elles en arrosaient l'intérieur d'une manière très rafraîchissante. Les juifs fermaient de désespoir leurs canifs

Tout ce monde se rangea pour laisser passer le malade; je remarquai que l'endroit que nous traversions était tout imprégné d'un parfum trop fort et dont on semblait s'enivrer en silence; et en approchant de la gondole, nous fûmes atteints par une nuée de petites marchandes de tubéreuses qui jetaient leurs fleurs sur les coussins et sur nous, pèle mêle et avec un entrain plein de grâce.

Cette année, les maris étaient donc dans la joie de leur âme. Les mémoires des bijoutiers, des marchandes de modes et des couturières, semblaient devoir être d'une modération infinie.

Je lui dis: il faut convenir, Madame, qu'il y a peu de marchandes de fleurs en état de faire de pareilles citations. Elle se mit

Les chevaliers français ou allemands, et les guerriers de la Pouille de race normande, prenaient ou bâtissaient des châteaux, les érigeaient en fief, chacun isolément et pour lui-même. Les Génois ni les Pisans n'avaient rien de pareil. Ils avaient des colonies nationales et marchandes. Il leur fallait moins d'honneurs, point de titres, mais autant d'indépendance, des privilèges solides, en un mot rien de chevaleresque et plus de profit. Les Vénitiens suivirent cet exemple, quoique la présence et la dignité de leur doge et de leurs nobles les fît toucher au rang des princes et des barons. Quoi qu'il en soit, parmi tant de comtes et de seigneurs on n'entend jamais parler d'aucun Génois. Nul d'entre eux ne rapporta dans son pays des titres féodaux de seigneurie; on ne les voit point compter parmi les chevaliers. Guillaume de Tyr appelle les Embriaco de nobles hommes; cet exemple est unique, et nous avons lieu de croire que lui-même il entend exprimer une considération et une importance individuelle plutôt qu'une noblesse proprement dite de rang et de race. Il est même fort remarquable qu'aucun autre nom propre génois ne se trouve dans les annalistes de la croisade. Pas un n'y semble distingué de la nation en général,

«Monsieur de Rohan ignorait encore que l'ambassadeur de Portugal les eût marchandés. Je le lui appris. Son indignation redoubla.

Le lendemain est jour de marché et je ne manque pas de m'y rendre; la plus grande animation règne dans les rues de la ville; il y a foule dans le centre les marchandes étalent des deux côtés de la rue leurs produits; les villageoises musulmanes et chrétiennes sont accroupies

Cet article, paru le 15 décembre 1852, avait pour titre: Voyage du43 de la rue Saint-Georges au n° 1 de la rue Laffitte . Un voyage de notre domicile d'alors au bureau du journal, et qui passait en revue, d'une façon fantaisiste, les industries, les officines de produits bizarres, les marchands et marchandes de tableaux et de bibelots que nous rencontrions sur notre route, et entre autres, la boutique d'une femme célèbre autrefois, comme modèle, dans les ateliers de peinture.