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J'ai ce qu'il vous faut, fit sur-le-champ maître Durosay, notaire. La terre de Saint-Pont... M. Godefroy Lureau-Vélin jeta un nouveau et rapide regard du côté de madame Durosay, et se passant la main tout le long de la barbe, prononça: Nous en reparlerons, monsieur, très volontiers.

M. Lureau-Vélin revenait, en voiture

Et, se tournant vers M. Lureau-Vélin qu'il entraînait par la manche dans un besoin de se délier la langue, toutefois, avec un vivant: Il n'y a de mort que pour l'amant vis-

Comme il y avait eu un long silence, il crut que l'on était endormi, et il osa lever les yeux. M. Durosay en effet commençait de somnoler. On apercevait le mâle profil de M. Lureau-Vélin, longuement prolongé par sa barbe. Madame Durosay gardait son rêve paisible et attendri, son bleu regard humide, pur comme un ciel de légers flocons blancs étaient suspendus comme des choses caressantes.

Pourquoi le ton bas de cette voix le tortura-t-il particulièrement? À quoi bon parler bas pour dire cela? M. Lureau-Vélin reprit: J'aime ces feuilles d'or, ce n'est pas triste comme on le dit; ni l'automne, ni l'hiver ne sont tristes, et la nature n'est jamais désolée: ce sont les âmes un peu bébêtes qui ont des larmoiements

Il était probable que l'on parlerait peu, la proximité du fourgon imposait une sorte de décence silencieuse, et de plus M. Lureau-Vélin, vis-

Saperlipopette! s'écriait in petto M. Lureau-Vélin qui lorgnait la jeune femme

À peine avait-on fait dix pas dans cette cour de couvent, désormais inoubliable, que M. Lureau-Vélin, décidément en verve, aborda des sujets auxquels on était le plus éloigné de s'attendre. Les toits d'ardoise brillaient sous la lune, et le pignon du porche d'entrée piquait durement le ciel de ses arêtes de zinc. Le grand Som, dressé au del

M. Lureau-Vélin décrivit par avance

M. Lureau-Vélin ayant vu les pieds sous la table reçut la confirmation de sa perspicacité. Il se flatta de la main la barbe, de cet air qu'il avait, de se caresser tout entier. On eût dit que, pour s'être laissé toucher, la jeune femme était plus désirable et jolie.