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La saveur si particulière des écrits de M. Henri Lavedan, d'où vient-elle donc? Je crois l'entrevoir.

Henri Lavedan. LES BONS DU TR

La vie a d'étranges hasards. Au moment , près d'abandonner l'administration de la Comédie-Française, M. Jules Claretie commençait dans le Journal la publication de ses Mémoires, notre éminent collaborateur M. Henri Lavedan avait eu la pensée de lui consacrer ici un article tout amical et charmant, que nous avions illustré d'une toute récente, et maintenant bien émouvante photographie. Le funèbre événement qui, mardi soir, a surpris Paris, donne, hélas!

Lavedan et Gyp, l'un avec son imagination pittoresque, l'autre avec sa gaminerie si drue, nous déroulent surtout l'extérieur du guignol mondain, peignent en superficie des âmes futiles en effet et superficielles.

Lavedan a connu aussi, mieux que personne, les rites et cérémonies de la toilette et du chic. L

Et voici paraître l'âme «vieille-France» de Henri Lavedan. Dans le monde qui s'amuse, il distingue toujours scrupuleusement les Salomon et les d'Aurec, et les viveurs de la bourgeoisie riche ou de la finance et ceux de l'ancienne aristocratie. Quoique ces deux classes se touchent souvent et se mêlent (et cette rencontre même est un phénomène social que l'auteur du Prince d'Aurec a étudié d'un effort très sérieux), elles lui inspirent des sentiments bien différents. Ses honnêtes duretés contre cette noblesse décadente dont il s'est fait spécialement le peintre impliquent, avec un sens très juste du rôle historique de la noblesse, une irréductible sympathie et un rien de préjugé. «Si l'on pèche plus dans cette société-l

Lorsqu'au mois d'avril de l'an dernier M. G. Lenotre, avec la précieuse collaboration de M. Henri Lavedan, fit représenter Varennes au théâtre Sarah-Bernhardt, il ne s'était pas trompé en pensant qu'un des principaux épisodes de la Révolution française, et non des moins émouvants, la malheureuse odyssée de la famille royale en 1791, offrait tous les éléments essentiels, tous les puissants ressorts d'une oeuvre dramatique; d'ailleurs, malgré les inévitables sacrifices consentis aux nécessités ou aux conventions scéniques, la pièce, il s'en portait garant, reposait sur les fondements d'une documentation solide. Ce consciencieux travail préparatoire, il a jugé utile de le publier, et l'on doit lui en savoir gré; car la réunion de ces matériaux forme un ensemble plus complet et plus suggestif encore que l'adaptation théâtrale

Henri Lavedan. LE «GRAND DIVAN» VIEUX-TURC DU 22 JANVIER ET LE COUP D'

Car, si les personnages de Catherine étaient un peu les fantoches aimables de la vertu, les personnages du Nouveau Jeu sont comme les polichinelles du vice «chic», du plaisir enragé, de l'irrespect et de la blague; et, selon la fantaisie, attendrie ou ironique, de M. Lavedan, ceux-ci et ceux-l

Voici toutefois ce qu'a ajouté M. Lavedan, parce qu'il se croyait obligé d'ajouter quelque chose. Quand le rideau se relève (six mois après), le jeune duc de Coutras paraît déj