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Aller avertir le marquis de Langevin? N'était-ce pas un peu tôt l'initier

Tony fit la réflexion que le laquais serait capable de le trouver trop jeune, lui aussi, et il se souvint que l'infortuné marquis de Vilers lui avait dit: Je suis capitaine aux gardes-françaises. Aussi répondit-il au laquais: J'ai un message pour M. le marquis de Langevin. De la part de qui? Du marquis de Vilers. Donnez... Non, dit l'enfant, je dois le remettre au marquis en personne.

Le comte avait jugé convenable d'inviter le secrétaire du marquis de Langevin

Au plus fort de la bataille, le marquis de Langevin, grisé par la poudre, par la fureur des ennemis, par l'ardeur de ses gardes, s'était fait, pour ainsi dire, de colonel-général qu'il était, simple soldat. Si Tony se battait comme un lion, Langevin ne craignait pas plus que lui de s'avancer au milieu des alliés jusqu'

L'assemblée se dispersa ensuite. Le gouverneur-général et sa suite ainsi que Sir Hector Langevin, et l'honorable M. Caron, quittèrent Chambly vers quatre heures.

Non, dit Tony, je n'ai pas le délire. Je vous dis que j'ai vu le portrait de ma mère... Et il lui raconta comment avait été découverte sa parenté avec le marquis de Langevin, comment celui-ci lui avait montré le médaillon se trouvait le portrait de sa mère, mais en lui disant qu'elle n'existait plus... Mame Toinon était aussi émue que lui.

Et au milieu des plissements causés par sa chute, Tony nageait, fort et confiant... Cependant, la fête terminée, le marquis de Langevin avait pris congé du comte de Mingréli et s'était retiré avec tous les officiers. Les uns, que leur service appelait au camp, avaient quitté le château. Ceux qui étaient libres étaient rentrés dans les appartements que le magnat avait mis

J'ai l'air d'un enfant, je le sais, mais si vous vouliez demander au marquis de Langevin, mon ancien colonel, et au maréchal de Saxe, qui m'a lui-même donné mon grade au burg du margrave... Quoi, c'est vous?... Ah! corbleu, mon jeune ami, laissez-moi vous féliciter et vous expliquer aussi ce que j'attends de vous et de vos hommes, car l'heure presse... Mon général, je suis venu pour cela.

Personne, autre que le maréchal de Saxe et moi, n'a de pouvoir sur mes régiments! poursuivit le marquis de Langevin, dont la fureur allait croissante. Je suis colonel-général des gardes-françaises et je ne permettrai

Les uns après les autres, le Normand et ses compagnons remontèrent, le visage désappointé. A mesure qu'ils lui rendaient compte du résultat négatif de leurs recherches, le marquis de Langevin devenait de plus en plus pâle. On eût dit que la vie se retirait du coeur de ce vieillard si ardent quelques heures auparavant.