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La première fois, c'est le vieux magnat qui, pendant que nous nous livrions

L'arrivée de Maurevailles et l'enlèvement de la marquise avaient été la première preuve de son erreur. L'installation de Tony au château avait été la seconde. De même que les Hommes Rouges, le magnat, en effet, n'avait point tardé

Ce ne fut pas un cri, ce fut un hurlement de jaguar qui sortit de la poitrine du magnat.

Récapitulons ces événements: Lors du serment fatal de Fraülen, Haydée, dont il était épris, l'avait, elle-même, prié de l'emmener loin du magnat. N'écoutant que son amour, il avait trahi sa parole. Lavenay l'avait rejoint pour le punir. Frappé d'un coup d'épée que l'on croyait mortel, le marquis était revenu

Le magnat me salua avec la courtoisie d'un homme bien , mais il n'y eut rien dans son geste, son regard ou sa voix qui pût me laisser croire que mon nom eût été déj

Celle-ci me conduisit dans la rue: Retrouverez-vous votre chemin? Parfaitement. Bonsoir. Et je regagnai la maison du magnat, l'on dansait toujours. Un homme était sur le seuil du premier salon quand j'entrai; c'était Gaston de Lavenay. On te cherche partout, me dit-il. Et Maurevailles prétend que tu as eu un rendez-vous avec la belle Hongroise. Je devins aussi pâle qu'un fantôme.

Mais connaissant moins bien que Maurevailles les passages secrets, il avait fait un détour et débouchait derrière la bande du magnat. Tony! s'écria La Rose, c'est toi? Le Gascon! dit joyeusement Tony. Allons, je n'arrive pas trop tard! Mais donc êtes-vous? Ici, au milieu, avec le marquis de Vilers! Le marquis de Vilers! s'écria Tony stupéfait comme les autres. Le marquis de Vilers!...

Nous sommes les deux filles du magnat de Bangkeli, et notre mere, a seize ans qu'elle avait, perit victime de la vampire d'Uszel, dont le tombeau, grand comme une eglise, fut trouve plein de cranes ayant appartenu a des jeunes filles ou a des jeunes femmes. Vous ne croyez pas a cela, vous autres Francais.

Au moins, s'écria Réjane, nous mourrons ensemble... Ah! si je pouvais mourir en me sachant aimée!... O mon Dieu, faites que je l'entende dire qu'il m'aime! Un ricanement lui répondit, affreux comme le grognement d'une bête fauve... Elle leva les yeux vers le plafond, d'où venait ce bruit. Par une trappe ouverte, elle vit la tête hideuse du magnat, contractée par un rictus satanique.

Et le nain s'esquiva au galop. Il était temps. Les serviteurs du magnat, lancés de tous les côtés, faisaient irruption de ce côté du bois. Ils avaient l'ordre de fouiller minutieusement jusqu'au moindre bosquet.