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La seule fois que j'ai causé avec elle sur ce sujet, répondis-je, ce fut le 21 mai, cinq semaines avant sa mort, et non pas la veille, comme le croit M. de Lamartine. J'étais depuis une heure avec elle, lorsqu'il arriva. Il est certain que je ne l'avais jamais vue si belle et si vivante. Je trouvais dernièrement cette date et cette réflexion sur mon journal, avec ces mots qui me serrent le coeur: Elle est cependant toujours souffrante. Combien j'étais loin de prévoir que je l'embrassais pour la dernière fois! Je partais le lendemain. Elle est morte pour ainsi dire debout, courageuse jusqu'

Mais tandis que je l'embrassais, elle me prit maladroitement, hâtivement, une main que j'avais derrière le dos.

Non, je t'en prie, laisse-moi l'emporter. Laisse-le moi, Jacques. Il n'y a eu que ça de bon dans ma vie, c'était le petit. Je suis sa mère, moi. Je l'ai porté, je l'ai nourri, je l'ai soigné. Je l'embrassais, c'était bon. Pauvre chéri mignon qui est mort. Il était si gentil. Quand je m'éveillais, le matin, j'allais doucement le regarder dormir dans son petit lit. Il était tout rose, je ne l'entendais pas respirer. Sa petite jambe ronde passait sous la couverture. Oh! Bébé qui est parti! Jacques, tu vas me laisser le portrait, n'est-ce pas? On se dispute, on s'agonise, mais on n'est pas des monstres. C'est

A mon père, dans sa vieillesse, J'offrais l'appui de ma jeunesse... Il m'était tout: bonheur, enfant, richesse. Ah! je l'embrassais tendrement Souvent. Nous aimions le doux bruit de l'onde, L'éclat de l'orage qui gronde; Le soir, en la solitude profonde, Du rossignol au fond du bois La voix.

«De quoi causais-tu donc avec Rosereprend Bellequeue au bout d'un moment. «M. Jean me parlait de son voyage d'autrefoisdit Rose. « Moi... je ne vous si pas dit un mot de cela.... je vous disais que vous étiez fort gentille, Rose. Ah! c'était pour rire, monsieur. Non, c'était pour tout de bon... enfin, mon parrain, je l'embrassais quand vous êtes arrivé. Non, monsieur, vous ne m'embrassiez pas. Ah! par exemple, c'est trop fort!... tenez, mon parrain, voil

C'était un jeu pour moi, et un divertissement joyeux pour sa mère et pour la mienne. Il avait douze ans! Songez! qui donc aurait pris au sérieux cette passion d'atome? Je l'embrassais tant qu'il voulait; je lui écrivis même des billets doux que lisaient nos mères; et il me répondait des lettres, des lettres de feu, que j'ai gardées. Il croyait secrète notre intimité d'amour, se jugeant un homme.

Puis, tirant de sa poche le cadeau préparé: Vous voyez! C'est un objet utile! Moi aussi, je vous traite en grande personne, aujourd'hui. Oh! que c'est joli! s'écria l'enfant, les yeux brillants de joie. Regarde donc, Jacques! C'est un objet d'art, ma fille... Ce peintre a fait des folies! Si tu l'embrassais, au moins?

Je l'embrassais, je caressais ses épaules aveuglément et avais pris une de ses mains dans les miennes pour lui donner confiance en son époux d'un instant.

Mon oncle, qu'avez-vous? lui demandai-je. Tout est perdu, Serge. Foma vient de me surprendre dans le jardin, avec Nastenka, au moment je l'embrassais. Vous l'embrassiez... au jardin! m'écriai-je en le regardant avec stupeur.

Et je le mettais entre les bras de Lucette. Je n'étais pas moins émue, mais je jouissais de leurs plaisirs. Nous vivions, elle et moi, dans l'union la plus intime; elle me chérissait autant que je l'aimais; je couchais ordinairement avec elle, et je n'y manquais pas, lorsque mon papa était absent. Je remplissais son rôle du mieux que je le pouvais: je l'embrassais, je suçais sa langue, ses tétons; je baisais ses fesses, son ventre, je caressais sa jolie motte, je la branlais; mes doigts prenaient souvent la place du vit que je ne pouvais lui fournir, et je la plongeais