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Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais la tasse en japon. Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nous avons vendu! J'étais mendiant, et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds.

Je lui baisais la main avec transport, et redoublais mes serments; elle m'opposait ses craintes. Dans le feu de la conversation, nos têtes se penchent, nos lèvres se rencontrent... Dans le moment, je me sens saisir par la basque de mon habit, et secouer d'une étrange force.

Eperdue, transportée, je m'étais précipitée sur les coussins. J'en tenais un serré entre mes cuisses, j'en pressais un autre dans mes bras; je le baisais follement, je l'entourais avec passion, je lui souriais même, je crois, tant j'étais ivre, dominée par les sens. Tout-

Adieu le joli clos herbu tu baisais ta bien aimée. Il ne te sert que d'avoir bu; Tout le reste est vaine fumée.

Mon enfant... mon enfant! Je ne pouvais me lasser de répéter ces mots bénis et charmants. Dans mon ivresse, je l'appelais, je le dévorais de caresses, j'étais comme insensée; je baisais mes mains, je riais aux éclats de cette puérilité, un instant après je fondais en larmes: mais ces bienfaisantes larmes étaient bonnes

«Mais nous roulâmes brusquement tous les cinq sur le pont, car le Marie-Joseph s'était affaissé sur son flanc droit. L'Anglaise étant tombée sur moi, je l'avais saisie dans mes bras, et follement, sans savoir, sans comprendre, croyant venue ma dernière seconde, je baisais

Elle eut un petit frémissement et me dit: Allez, allez!... mon ami. Je prenais congé d'elle, avant de me retirer, je lui baisais la main. Promettez-moi, dit-elle avec un effort, de ne pas chercher

»Je baisais ses mains

Et je le mettais entre les bras de Lucette. Je n'étais pas moins émue, mais je jouissais de leurs plaisirs. Nous vivions, elle et moi, dans l'union la plus intime; elle me chérissait autant que je l'aimais; je couchais ordinairement avec elle, et je n'y manquais pas, lorsque mon papa était absent. Je remplissais son rôle du mieux que je le pouvais: je l'embrassais, je suçais sa langue, ses tétons; je baisais ses fesses, son ventre, je caressais sa jolie motte, je la branlais; mes doigts prenaient souvent la place du vit que je ne pouvais lui fournir, et je la plongeais

Ma bonne m'embrassa et me fit cent caresses qui dénotaient que le scrupule et ses préjugés étaient enfin totalement effacés. Je les lui rendis avec chaleur: je pris ses tétons, que je trouvais si jolis; je les baisais, j'en suçais le bout. Mon père passa la main sur elle; il rencontra la mienne qu'il prit; il me la promena sur le ventre de Lucette, sur ses cuisses.