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Mais ce n'est pas ta faute, tu agis fort bien selon ce que tu as trouvé autour de toi en venant sur la terre; je ne t'en veux pas du tout, tu as été conséquent, c'est une qualité rare. Seulement, si tu ne veux pas me laisser parler, laisse-moi lire. =Il reprend son livre et se retourne dans son fauteuil.= JOHN BELL =ouvre la porte de sa femme avec force.= Mistress Bell! venez ici.

Laisse-moi!... pitié!... Misérable! que Dieu t'entende et te punisse doublement si tu blasphèmes!... Va! LE SPADASSIN, montant sur la fenêtre. Je m'appelle Giglio... Je te dois la vie!...

Mon fils, s'écria Joam Dacosta, laisse-moi!... Une fois déj

Laisse-moi faire une supposition, Queslier. Je suppose que la Révolution soit faite. On a décrété l'abolition des armées permanentes. Le décret est porté

KENT. Voici l'endroit, mon seigneur. Mon bon seigneur, entrez: une nuit si rigoureuse passée en plein air est trop rude pour les forces de la nature. LEAR. Laisse-moi tranquille. KENT. Mon bon maître, entrez. LEAR. Veux-tu briser mon coeur? KENT. Je briserais plutôt le mien. Mon bon seigneur, entrez.

Je voudrais que la dent me fît mal, dit Geneviève, alors j'y retournerais... Mais, je t'en prie, laisse-moi tranquille avec ce sujet-l

Laisse-moi, Jules, ma vie m'appartient, j'en disposerai. Je ne le veux pas. Tu m'aimes donc mieux déshonoré que mort? Et toi, tu veux me couvrir de ton sang, Maurice! Ces deux hommes effrayés font sous la nappe des mouvements imperceptibles. Dessus l'ivresse; dessous le suicide.

Ulric, nul oeil des mers n'a mesuré l'abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots. Le soleil vient briser ses rayons sur leur cime, Comme un soldat vaincu brise ses javelots. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mais laisse-moi du moins regarder dans ton âme, Comme un enfant craintif se penche sur les eaux; Toi si plein, front pâli sous des larmes de femme!

Laisse-moi l

RICHARD. Mon frère, donne-moi ta main. Et toi, généreux Warwick, laisse-moi te serrer dans mes bras fatigués. Moi, qui n'ai jamais pleuré, je me sens douloureusement attendri sur ce printemps de nos jours que doit peut-être sitôt interrompre l'hiver. WARWICK. Allons, allons! Encore une fois, chers seigneurs, adieu.