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Rien ne m'était plus facile, n'est-ce pas, mon ami que de trouver une défaite pour quitter le baron et regagner l'abbaye. Eh bien! soit impuissance, soit secret désir d'échapper

Il y a deux ans, j'étais dans un état déplorable d'ennui et de souffrance. Mais que ne donnerais-je pas pour retourner en arriére! Je craignais de ne plus pouvoir aimer. Depuis longtemps je n'avais pas rencontré une femme digne d'amour. Je m'impatientais et je m'effrayais de ce lomg sommeil da mon coeur; je me demandais si c'était la faute de son impuissance, et je sentais bien que non. Mais je voyais les années s'envoler comme des rêves, et je me disais qu'il n'y avait plus pour moi de temps

Elle vous devait protection, en effet. Elle me la devait et me l'a promise. Mais, promettre et tenir font deux, et, soit méchanceté, soit impuissance, on ne m'a pas protégée. Dès lors, que pouvais-je toute seule contre cinquante mauvais drôles dont la malice inventait chaque jour quelque nouvelle avanie, et qui se sont même avisés de mettre le feu

Je suis sûr que cette impuissance relative

Au lieu de trouver le repos qu'elle espérait, Dolly tomba dans le désespoir; sentant son impuissance en face d'une situation qui lui apparaissait terrible, elle retenait avec peine ses larmes.

La stupéfaction suspendit un instant leur rage carnivore. Ils me regardèrent avec des yeux l'étonnement effaçait presque la colère; puis enfin, sentant bien toute mon impuissance, que mon audace leur avait fait oublier un instant, ils se jetèrent comme de plus belle sur leur proie, sans s'inquiéter autrement de ma chevalerie. Je me ruai alors sur leur bataillon, seul contre tous, mais animé par l'amour, tandis qu'ils ne l'étaient que par la voracité. Je déchirai l'oeil

Leur impuissance

Les malveillants de Genève voyaient bien son impuissance; ils ne restèrent pas inactifs, et mirent tout en oeuvre pour déterminer l'officier qui commandait la garnison,

Une preuve nouvelle de cette impuissance me fut fournie dans la circonstance que voici: Après la lecture d'une des premières éditions de mon livre, un éminent sénateur, que je connaissais seulement de réputation, le professeur Léon Labbé, membre de l'Académie des sciences et de l'Académie de médecine, vint me voir pour m'annoncer son intention de prononcer un discours énergique au Sénat dans le but d'obtenir la réforme de notre enseignement. Le savant académicien revint plusieurs fois discuter ce sujet avec moi et il le discuta aussi avec quelques amis. Le résultat final de ces discussions fut que pour transformer notre système d'éducation, il faudrait d'abord changer l'âme des professeurs, puis celle des parents, et enfin celle des élèves. Devant une pareille évidence, l'illustre sénateur renonça de lui-même

La mère me contemplait, silencieuse, devinant sans doute les pensées poignantes que trahissait mon visage. Je ne savais pas encore cacher mon impuissance sous une phraséologie banale et consolatrice. Je ne m'en fais pas un mérite, le médecin devant agir sur le cerveau comme sur les autres organes. A ce moment nous entendîmes un bruit de pas dans la première pièce. C'est M. Vincent, dit la mère.