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Lorsque je reconnus votre écriture, je déchirai promptement l'enveloppe, pour que Léonce n'en vît pas le timbre; il croit que vous êtes en Suisse, mais il n'a pas la moindre idée du lieu même vous demeurez. Je lus d'abord ce qui étoit pour Léonce, et, dans mon impatience de le lui porter, je ne vis point ce que vous m'écriviez; je rentrai, tenant

Je déchirai la lettre et je baisai avec des larmes la main qui me la rendait. En ce moment Prudence reparut. Dites donc, Prudence, savez-vous ce qu'il me demande? fit Marguerite. Il vous demande pardon. Justement. Et vous pardonnez? Il le faut bien, mais il veut encore autre chose. Quoi donc? Il veut venir souper avec nous. Et vous y consentez? Qu'en pensez-vous?

Elle fit un reçu. Je le pris et le déchirai en disant: Laissez-moi vous obliger sans arrière-pensée. Elle me regarda avec curiosité et parut réfléchir, puis elle se leva, fit le tour de la chambre, s'arrêta devant moi, et me demanda brusquement:

Je m'excusai et il reprit d'un air modeste: Endoctriné dans tous les arts, j'y excelle: mais, toutes les carrières artistiques sont encombrées. Désespérant de me faire un nom comme peintre, je brûlai tous mes tableaux. Renonçant aux lauriers poétiques, je déchirai cent cinquante mille vers environ.

Je ne continuai pas: c'était le reste de la liste, c'était la liste perdue, la liste que l'imbécile commissaire avait cherchée dans son chapeau d'ivrogne. Je la déchirai, je la broyai, je la mis en mille pièces entre mes doigts, et je mangeai les pièces entre mes dents.

Un coup de foudre me réveilla de ce lâche sommeil de ma volonté. Ma tante Louise fut frappée d'une attaque de paralysie. C'était vers la fin de cette morne année de 1878, au mois de décembre. J'étais rentré le soir, ou plutôt le matin, après avoir gagné au jeu quelques milliers de francs. Des lettres m'attendaient et une dépêche. Je déchirai l'enveloppe bleue en chantonnant un air

Cette première lettre d'Héloïse avait un second feuillet blanc que je déchirai et sur lequel, de mon écriture la plus fantasque, je traçai trois lignes au crayon. Cela fait, j'insinuai ma prose dans la poche de mon gilet. Dix minutes après, Cydalise était de retour.

Je ramassai mes vers, et, sans hésiter, je les déchirai en petits morceaux; puis comme j'étais embarrassé de ces débris que je ne pouvais laisser sur la table ou sur le parquet, je les jetai dans la grande cheminée vide, rien n'était disposé pour faire du feu.

Ma seule préoccupation, pour l'instant, était de me débarrasser de mes bottines; nous aurions sûrement, avant peu, une visite de literie, et il était temps que je les fisse disparaître. Je les déchirai donc

La stupéfaction suspendit un instant leur rage carnivore. Ils me regardèrent avec des yeux l'étonnement effaçait presque la colère; puis enfin, sentant bien toute mon impuissance, que mon audace leur avait fait oublier un instant, ils se jetèrent comme de plus belle sur leur proie, sans s'inquiéter autrement de ma chevalerie. Je me ruai alors sur leur bataillon, seul contre tous, mais animé par l'amour, tandis qu'ils ne l'étaient que par la voracité. Je déchirai l'oeil