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FORD. J'entends dire que vous êtes un homme lettré, monsieur. Je serai court, et vous m'êtes connu depuis longtemps, quoique malgré mon désir je n'aie jamais trouvé l'occasion de me faire connaître de vous.

FALSTAFF. Je m'étonne de ne point voir paraître monsieur Brook; il m'avait fait prier de l'attendre chez moi; j'aime fort son argent. Ah! le voici. FORD. Dieu vous garde, monsieur. FALSTAFF. Eh bien! monsieur Brook, vous venez sans doute pour savoir ce qui s'est passé entre moi et la femme de Ford. FORD. C'est en effet l'objet qui m'amène, sir John.

MISTRISS FORD. Et moi, je vous dis, vous les méritez, sans quoi je ne les aurais pas. ROBIN, derrière le théâtre. Mistriss Ford! mistriss Ford! voil

Devant ce silence obstiné, James Starr, et avec lui Simon et Harry Ford, ne laissaient pas d'éprouver une certaine appréhension. Ils ne pouvaient oublier les faits inexplicables qui avaient accompagné la découverte de la houillère. Or, bien que depuis trois ans aucun nouvel incident ne se fût produit, ils s'attendaient toujours

MISTRISS FORD. Je vous garantis qu'ils voudront lui en faire publiquement la honte. Quant

MISTRISS FORD. Je suis perdue, le chevalier est ici. Quelle femme êtes-vous donc? Faites-le sortir, faites-le sortir. Un peu de bonté vaut encore mieux qu'un meurtre. MISTRISS FORD. Et par sortira-t-il? pourrons-nous le cacher. Le mettrons-nous encore dans le panier? FALSTAFF. Non, je ne veux plus me mettre dans le panier; ne puis-je m'évader avant qu'il arrive?

Quoi qu'il en soit, Simon Ford était fier d'appartenir

Loin de moi la pensée de déprécier la nouvelle houillère d'Aberfoyle par une comparaison injuste ! Je n'ai voulu dire qu'une chose, c'est que nous ne savons pas nous sommes. Nous sommes dans le sous-sol du comté de Stirling, monsieur James, répondit Simon Ford, et cela, je l'affirme comme si...

Ce sera nous faire tout l'honneur possible, monsieur James, répondit Simon Ford. Eh bien, il faut pour cela n'avoir aucune préoccupation. Or, j'ai deux questions

FALSTAFF. Et vous aussi, monsieur. Souhaitez-vous me parler? FORD. Excusez, si j'ose m'introduire ainsi chez vous sans cérémonie. FALSTAFF. Vous êtes le bienvenu. Que désirez-vous? Laisse-nous, garçon. FORD. Monsieur, vous voyez un homme qui a dépensé beaucoup d'argent. Je m'appelle Brook. FALSTAFF. Cher monsieur Brook, je désire faire avec vous plus ample connaissance.