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Culte des astres, ou sabéisme 170 § III. Troisième système. Culte des symboles, ou idolâtrie 175 § IV. Quatrième système. Culte des deux principes, ou dualisme 187 § V. Culte mystique et moral, ou système de l'autre monde 193 § VI. Sixième système. Monde animé, ou culte de l'univers sous divers emblèmes 197

Vit. S. Geminian. Act. Dans ce dualisme de plus en plus idéalisé, Attila, l'être fatal, prend quelque chose des esprits infernaux. Satan lui-même le conduit: c'est le prince des ténèbres qui lui ouvre les portes de Reims, qui l'encourage au viol et au meurtre, qui vient jouir du martyre de l'évêque saint Nicaise et de sa sœur sainte Eutropie; «il se tenait près de la porte, on l'y a vudit la légende. Ainsi que le diable lui-même, l'Attila fléau de Dieu est sarcastique, vain dans ses paroles et hideux

Et d'abord, Messieurs, Dieu est l'essence universelle, le fond de toutes choses, ou simplement l'Essence; toute négation de ce principe nous rejetterait dans le dualisme. D'un autre côté, Dieu est un être réel, il existe. C'est la contradiction infinie, le miracle des miracles, que Dieu soit l'Essence et que cependant il existe. Partout ailleurs la pensée distingue le fond et la forme, la puissance et l'acte, l'essence et l'existence. Ainsi l'essence des individus c'est l'espèce, mais l'espèce n'existe pas comme espèce; ce qui existe, ce sont les individus. Dieu est l'essence qui existe; cette définition s'impose

Cette intime subordination philosophique n'a jamais pu être plus irrécusable et plus prononcée que dans le cas actuel, elle est néanmoins si profondément méconnue jusqu'ici. Elle y résulte immédiatement, en effet, du rang incontestable que notre hiérarchie fondamentale assigne nécessairement aux phénomènes sociaux après toutes les autres catégories principales de phénomènes naturels, en vertu de la complication supérieure, de la spécialité plus complète, et de la personnalité plus directe, qui les distinguent si hautement même des phénomènes les plus élevés de la vie individuelle. Pour concevoir, en général, comment ces caractères irrécusables déterminent ainsi l'étroite dépendance rationnelle de la science sociologique envers les différentes branches antérieures de la philosophie naturelle, il suffit de considérer d'abord que l'étude positive du développement social suppose, de toute nécessité, la co-relation continue de ces deux notions indispensables, l'humanité qui accomplit le phénomène, et l'ensemble constant des influences extérieures quelconques, ou le milieu scientifique proprement dit, qui domine cette évolution partielle et secondaire de l'une des races animales. Sans l'usage permanent d'un tel dualisme philosophique, aucune spéculation sociale ne saurait, évidemment, jamais comporter une vraie positivité. Or, le premier terme de ce dualisme fondamental subordonne directement la sociologie

D'abord, rappelons-nous la triple antithèse qu'il a admise entre le corps et l'esprit. «L'opposition des deux principes, a-t-il écrit, dans le dualisme en général, se résout en la triple opposition de l'inétendu

C'est donc en se fondant sur un argument vicieux qu'il prononce un divorce irrévocable entre le monde sensible et le monde de nos pensées, que l'expérience ne nous permet pas de séparer l'un de l'autre un seul instant. Sa définition de la matière le conduit au pur mécanisme en physique et en physiologie. Son dualisme rend insoluble la question des rapports de l'âme et du corps.

Les chimistes peuvent donc, désormais, ce me semble, sans contredire réellement aucune observation positive, et en se conformant, au contraire, aux plus puissantes analogies, attribuer une entière généralité au principe fondamental du dualisme de toute combinaison, sous cette seule condition, facile

Pour mieux caractériser cette indispensable décomposition élémentaire, et afin d'en indiquer, dès ce moment, la portée pratique, je crois essentiel, avant de passer outre, de noter ici qu'un tel dualisme scientifique correspond, avec une parfaite exactitude, dans le sens politique proprement dit,

«Il ne faut pas se méprendre sur le caractère de cette étrange prière, dit Fauriel; il ne faut y voir ni plaisanterie ni ironie... sa pensée est grave et sérieuse... On entrevoit qu'il [Peire Cardenal] imagine l'existence du mal comme la conséquence d'une espèce de dualisme, mais d'un dualisme, pour ainsi dire, accidentel, qu'il dépendrait de Dieu de ramener

Que les croyances orientales aient pénétré dans ce pays, c'est ce qui ne surprendra pas. Toute doctrine y avait pris; mais le manichéisme, la plus odieuse de toutes dans le monde chrétien, a fait oublier les autres. Il avait éclaté de bonne heure au moyen âge en Espagne. Rapporté, ce semble, en Languedoc de la Bulgarie et de Constantinople il y prit pied aisément. Le dualisme persan leur sembla expliquer (p. 017) la contradiction que présentent également l'univers et l'homme. Race hétérogène, ils admettaient volontiers un monde hétérogène; il leur fallait