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Et pour le regard de la Royne d'Escoce, m'a dict qu'elle ne voyoit que son affaire peult estre si promptement expédiée comme je l'en pressois, et que le mal qu'il sembloit que je luy voulois imputer de ce que le comte de Mora poursuyvoit de ruyner ceulx du party de la dicte Dame et de la déshériter du tout, pendant qu'elle estoit dettenue par deç

En quoy, encor que, sur la responce que je luy ay faicte que c'estoit une malicieuse invention, pour empescher la restitution de la Royne d'Escoce, et altérer la paix qu'elle a avecques la France, et qu'il ne se trouvera, despuys le dernier tretté de paix, que le Roy, ny la Royne, ny Monsieur ayent, par un prétexte, ny aultre, entendu en nulle pratique contre elle, et qu'elle m'ayt l

A quoy ayant respondu l'évesque de Roz, quant il le luy a dict, que la Royne d'Escoce, sa Mestresse, en seroit très contante, parce qu'elle n'y avoit jamais prétandu que pour cuyder complaire

Touchant la Royne d'Escoce, je fays,

Il y a quelque aparance que la Royne d'Escoce sera encores remuée en ung aultre lieu, et pense l'on que ce sera

La Royne d'Escoce vous escript, et vous envoye ung sien gentilhomme exprès pour vous compter ses nouvelles. J'ay si amplement instruict de toutes aultres choses de deç

=Chiffre.= [Suivant ce que leurs Majestez m'ont commandé par leurs lettres du XXe de septembre, le Sr. de Sabran leur dira que, pour la cause de la religion, et pour le faict de la Royne d'Escoce, et pour la détention de ces seigneurs prisonniers, les armes sont

Les affaires de la Royne d'Escoce demeurent en suspens, attandant la déclaration que Monsieur, frère de Vostre Majesté, envoyera sur le tiltre de ce royaulme, et cependant s'entend que le Sr. Ledinthon s'apreste de venir d'Escoce de la part du comte de Mora, lequel comte monstre,

La Royne d'Angleterre a envoyé ung gentilhomme devers la Royne d'Escoce sans lettre de sa main, mais avec charge de parler

Or, il a esté usé de plusieurs artiffices envers le dict duc pour le faire retourner, parce qu'on craignoit que son partement mît aulx armes tout ce royaulme, expéciallement de luy promettre beaulcoup de choses pour la Royne d'Escoce, et qu'au contraire, s'il s'opiniastroit de ne venir poinct, ou s'il essayoit d'attempter quelque chose par la force, qu'il mettroit la personne de la dicte Dame et toutz ses affaires en grand dangier.