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Je racontai toutes mes aventures au prieur et je lui recommandai bien de se tenir coi, de se laisser oublier, de faire le mort, comme disait M. Costejoux. Je le suppliai de laisser ravager les terres plutôt que de se faire des ennemis. Il se moqua de moi, disant qu'il ne craignait personne et ferait son devoir envers son propriétaire, tant qu'il aurait un souffle de vie.

Inutile de dire qu'on chercherait vainement ces noms dans les souvenirs des habitants. Nanon a les changer en écrivant ses Mémoires. Enfin, au bout d'une heure, je fus appelée dans le cabinet de M. Costejoux et je l'y trouvai seul. Il s'enferma dès que je fus entrée, puis il me dit: Que viens-tu faire ici? tu veux donc perdre le prieur et Louise? Je veux sauver

M. Costejoux venait un peu plus souvent et

Parlez-moi de cela, monsieur Costejoux, et nous reparlerons de Louise. Je veux d'abord comprendre comment et pourquoi tout vous semble perdu,

Pauvre Costejoux! elle ne fut pas toujours heureuse. Louise pleura beaucoup devant les reproches d'

Puisque nous étions libres, Dumont et moi, je résolus de m'absenter trois jours pour aller voir si M. le prieur était bien soigné, car M. Costejoux ne nous disait rien de sa santé, et Boucherot n'en pouvait rien savoir. Nous l'avions laissé de plus en plus asthmatique et je craignais que le dévouement de Mariotte ne se fût refroidi.

Eh bien, partez, dit M. Costejoux en ouvrant une porte dérobée que cachaient des rayons de bibliothèque. Quittez la ville sans dire un mot, sans vous arrêter nulle part. Je ne vous cache pas que, si vous êtes pris, je payerai de ma tête l'évasion que je vous procure. Mais c'est moi qui vous ai mandés ici, je voulais vous parler de mes affaires, j'ignorais les charges qui pèsent sur vous.

Comme nous pénétrions dans le parc de Franqueville, nous vîmes M. Costejoux qui vint

Au commencement d'août 92, M. Costejoux vint nous voir, il arrivait de Paris. Il prit

Hélas! monsieur Costejoux, vous ne raisonniez pas comme cela, je le sais bien, mais comment agissiez-vous? La violence a autorisé la violence. Vous ne l'aimiez pas, vous; mais vos amis l'aimaient et vous le savez bien,