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Et comprendrez-vous, continua Protos, que nous n'hésitions pas, par instants,

Vous le regretteriez? J'en ai peur. Et que regretteriez-vous donc dans un ivrogne, dans un joueur, dans un homme qui vous bat, dans un escroc qui sera un jour roué en Grève? Peut-être ne comprendrez-vous point ce que je vais vous dire. Dites toujours. Je regretterais le bruit qu'il fait autour de moi.

Peut-être comprendrez-vous, maintenant ma tendresse pour Lamartine et Musset, ces médiocres ouvriers qu'on ne parodie point, que personne n'a jamais eu l'idée de parodier. Ce n'est pas qu'ils aient mis dans leurs vers ce que la poésie proprement dite ne comporte point: l'analyse aiguë de Stendhal, par exemple, ou l'ironie nuancée de Renan. Et ce n'est pas non plus qu'ils aient évité les redites. Mais, d'abord, je trouve,

Mais ne comprendrez-vous pas enfin dans quelle situation comique vous vous placez aux yeux du monde par de pareilles questions? Pourquoi t'es-tu si monstrueusement, si bêtement perdue? Que faire maintenant?

Mais, comprendrez-vous ceci : leurs ennemis ne sont pas les mêmes; et tandis que le cardinal, du fond de son archevêché, contre les francs-maçon doit se défendre, le chapelain Bardolotti se voit guetté par... Les jésuites! interrompit éperdument le chapelain. C'est ce que je ne lui avais pas encore appris, ajoutait Protos. Ah! si nous avons les jésuites aussi contre nous, sanglota Fleurissoire.

Cependant, dites-moi, mon cher Glenarvan, comment comprendrez-vous le langage de Thalcave? Je suppose, répondit Glenarvan, que le patagon et moi nous n

Georges avait dix-neuf ans, son baccalauréat et ... une maîtresse pour lui tout seul; aussi comprendrez-vous aisément la grimace qu'il fit, en recevant un beau jour du mois d'avril, un imprimé portant ces mots: CLASSE DE 1884

Seulement saurez-vous jamais ce qu'une telle démarche m'aura coûté de douleurs...» Soyons tendre, n'est-ce pas? «ce que j'en peux souffrir. Comprendrez-vous qu'il m'a fallu toute ma foi en votre honneur, ma confiance en vos sentiments, ma croyance en vous, pour n'être pas arrêtée au premier mot de cette lettre et pour la terminer en vous disant...»

»Nous avons eu une grande douleur: notre bouffon Nannino est mort. Vous l'avez connu et aimé; aussi comprendrez-vous que si j'avais perdu tout autre chose, j'aurais essayé de la remplacer; mais pour refaire un nouveau Nannino, la nature elle-même serait impuissante car elle a épuisé en lui toutes ses forces en unissant en un seul être pour l'amusement des rois, la plus rare des bêtises et la plus charmante des horreurs. Le poète Bellincioni, dans son épitaphe, a dit que: «Si son âme est au ciel, il doit faire rire tout le paradis; si elle est en enfer, Cerbère se tait et se réjouitJe l'ai fait inhumer dans notre caveau

Elle l'entraîna vers un banc de pierre et s'y assit en disant: Je suis bien lasse. J'ai la fièvre quand je parle de ces choses. Me comprendrez-vous, Hector, quand j'ajouterai que je n'ai aucun moyen de reconnaître ma mère, et que cependant je dois rester en France! À mes yeux, c'est un devoir sacré. Mon coeur me disait que vous viendriez, vous voyez bien qu'il ne m'a pas trompée.