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Et c'est un homme intelligent comme l'amiral François Caracciolo, repartit le cardinal, qui rêve une pareille impossibilité! Est-ce qu'il y a une vie privée pour un homme de votre valeur, au milieu des événements politiques qui vont s'accomplir? Est-ce qu'il y a une obscurité possible pour celui qui porte sa lumière en lui-même? Est-ce que, quand les uns combattent pour la royauté, les autres pour la république, est-ce qu'il y a un moyen quelconque pour tout coeur loyal, pour tout esprit courageux de ne point prendre part pour l'un ou pour l'autre? Les hommes que Dieu a largement dotés de la richesse, de la naissance, du génie, ne s'appartiennent pas; ils appartiennent

La guerre avait ainsi un aspect étrange. Il faut se représenter deux petites armées en présence; chacune a au milieu d'elle ses statues, son autel, ses enseignes qui sont des emblèmes sacrés; chacune a ses oracles qui lui ont promis le succès, ses augures et ses devins qui lui assurent la victoire. Avant la bataille, chaque soldat dans les deux armées pense et dit comme ce Grec dans Euripide: « Les dieux qui combattent avec nous sont plus forts que ceux qui sont avec nos ennemis. » Chaque armée prononce contre l'armée ennemie une imprécation dans le genre de celle dont Macrobe nous a conservé la formule: « O dieux, répandez l'effroi, la terreur, le mal parmi nos ennemis. Que ces hommes et quiconque habite leurs champs et leur ville, soient par vous privés de la lumière du soleil. Que cette ville et leurs champs, et leurs têtes et leurs personnes y vous soient dévoués. » Cela dit, on se bat des deux côtés avec cet acharnement sauvage que donne la pensée qu'on a des dieux pour soi et qu'on combat contre des dieux étrangers. Pas de merci pour l'ennemi; la guerre est implacable; la religion préside

On dit, remarqua naïvement Eustache Grossin, que les aurores boréales sont des esprits qui se disputent et se combattent dans le ciel. Est-ce vrai? Le pilote de l'Emérillon eut une belle expression de nonne scandalisée.

Pour en apprécier la pensée, c'est assez d'en lire le prologue. L'auteur y remarque que, dans cette foule de phrases qui remplissent les écrits des saints, quelques propositions diffèrent et même se combattent. Cependant, ajoute-t-il aussitôt, il ne faut pas juger témérairement ceux qui doivent juger le monde.

Ne m'interromps pas, je commence: Pour le juge il y a deux sortes de certitude qui se combattent parfois l'une l'autre, et c'est la grande misère d'une conscience de magistrat. Il y a la certitude personnelle qui naît de l'intelligence, celle en un mot qui est humaine, c'est-

Du côté de Bourbaki, l'espoir s'en va complètement malgré de brillants faits d'armes qui tournent contre nous chaque fois. Nos généraux ne combattent plus que pour joûter. Ils n'ont pas la franchise de d'Aurelle de Paladines, qui a osé dire la vérité pour sauver son armée. Ils craignent qu'on ne les accuse de lâcheté ou de trahison. La situation est horrible, et elle n'est pas sincère!

«Animés du même esprit, ces diverses troupes combattent avec la même bravoure, bravent la mort avec le même courage, supportent en commun travaux et fatigues. «L'on ose donc croire que le public ne verra pas avec indifférence l'image de quelques-uns des corps dont les armées républicaines sont composées. Les figures enluminées sont représentées au naturel, telles que les a vues un témoin oculaire.

C'en était fait de tous les Français, si Bonaparte n'eût dompté la révolte, qui avait pris des proportions formidables. Pendant la nuit, il couvrit de canons et de mortiers les hauteurs du Mokattam. À la pointe du jour, il lance ses colonnes d'infanterie sur la ville. Les murailles sont franchies, les insurgés combattent avec énergie. Mais rien ne résiste

L'armée de ligne et la garde nationale qui ont combattu et combattent encore pour défendre la liberté, l'indépendance, et le territoire de la France, ont bien mérité de la patrie. Les ministres de la guerre, des relations extérieures et de l'intérieur, sont invités

Ces sortes de journaux, qui sont au nombre d'une quinzaine, combattent sans répit l'influence démoralisante des affiches allemandes. Rien d'étonnant donc