United States or Cuba ? Vote for the TOP Country of the Week !


Sanine comprenait parfaitement qu'il disait des choses qui n'avaient pas le sens commun, mais il se sentait un courage qui ne reculerait devant aucun sacrifice! Il n'avait qu'

L'Amour de Michelet est un livre ardent et grave, candide, d'un accent religieux, et qui n'a donc pas grand'chose de commun avec l'Amour de Stendhal ou la Physiologie du Mariage de Balzac.

Il est des esprits auxquels il faut laisser leurs allures et leur idiotisme. Rien n'est plus commun aujourd'hui que des productions littéraires nulles sans être mauvaises. Elles sont nulles, parce qu'elles n'ont point de valeur; elles ne sont pas mauvaises, parce que l'auteur s'est renfermé dans les formes générales des bons modèles. La neige est une propreté mensongère.

La langue moderne a rejeté l'adjectif ou le substantif, et n'a gardé qu'une locution adverbiale, de laquelle il n'est plus possible de faire sortir tapinois: en tapinois. C'est certainement un dommage; il n'est pas bon pour la flexibilité et la netteté du langage d'immobiliser ainsi des termes qui méritaient de demeurer dans le langage commun.

Je dîne aujourd'hui chez Burty, avec deux Japonais: le prince Sayounsi et un Japonais du commun. Le prince, c'est le type du Chinois avec les yeux remontés, la bouche

Il occupa, avec deux cents hommes, dans la rue de Tolède, la place que les avant-postes de Fra-Diavolo et de Mammone y occupaient dix minutes auparavant. Ils prirent aussitôt leur course vers le largo del Palazzo, le rendez-vous commun étant

Tout a été commun pendant la prospérité. Tout se sépare au moment du désastre! Non! mon père, vous êtes injuste. La tante Isabelle a déj

J'avois expliqué assez particulièrement toutes ces choses dans le traité que j'avois eu ci-devant dessein de publier. Et ensuite j'y avois montré quelle doit être la fabrique des nerfs et des muscles du corps humain, pour faire que les esprits animaux étant dedans aient la force de mouvoir ses membres, ainsi qu'on voit que les têtes, un peu après être coupées, se remuent encore et mordent la terre nonobstant qu'elles ne soient plus animées; quels changements se doivent faire dans le cerveau pour causer la veille, et le sommeil, et les songes; comment la lumière, les sons, les odeurs, les goûts, la chaleur, et toutes les autres qualités des objets extérieurs y peuvent imprimer diverses idées, par l'entremise des sens; comment la faim, la soif, et les autres passions intérieures y peuvent aussi envoyer les leurs; ce qui doit y être pris pour le sens commun ces idées sont reçues, pour la mémoire qui les conserve, et pour la fantaisie qui les peut diversement changer et en composer de nouvelles, et, par même moyen, distribuant les esprits animaux dans les muscles, faire mouvoir les membres de ce corps en autant de diverses façons, et autant

»On est dans le fort du carnaval, et je suis dans la fièvre et les tourmens d'une nouvelle intrigue, je ne sais précisément avec qui, sinon qu'elle est insatiable d'amour, et ne veut pas d'argent; qu'elle a les cheveux blonds et les yeux bleus, ce qui n'est pas commun ici; que je l'ai rencontrée au bal masqué, et que, quand elle est sans masque, je suis aussi sage que jamais.

Je ne reviendrai pas sur la lutte des deux sucres et sur la loi qui leur a imposé une trêve éphémère plutôt qu'une paix durable. Je dirai seulement que, puisqu'on trouvait que les prix du monopole étaient un trop puissant excitant pour le sucre indigène, une chaude atmosphère dans laquelle il se développait avec trop de rapidité, il y avait un moyen simple de faire rentrer la jeune industrie dans le droit commun et dans les conditions naturelles; c'était d'abolir ou du moins d'amoindrir le monopole; c'est-