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Colli ne défendit le camp retranché de Ceva que le temps nécessaire pour ralentir un peu notre marche. Cet excellent officier avait su raffermir ses soldats, et soutenir leur courage. Il n'avait plus l'espoir de battre son redoutable ennemi; mais il voulait faire sa retraite pied

Les Piémontais, au nombre de vingt ou vingt-deux mille hommes, sous les ordres de Colli, campaient

Sire, répondit celui auquel le roi s'adressait, j'avoue que je n'oserais prendre une telle responsabilité. Et de deux. Et toi, Colli? continua le roi. Ni moi non plus, sire. Et toi, Parisi? Sire, je suis simple brigadier.

Ainsi, aux armées de Colli et de Beaulieu, détruites en entrant en Italie, il fallait ajouter celle de Wurmser, détruite en deux fois, d'abord dans les plaines de Castiglione, et ensuite sur les rives de la Brenta. Aux trophées de Montenotte, de Lodi, de Borghetto, de Lonato, de Castiglione, il fallait donc joindre ceux de Roveredo, de Bassano et de Saint-George.

En effet, le 25 (14 avril), l'attaque redevient générale sur tous les points. A la gauche, Augereau, dans la gorge de Millesimo, repousse tous les efforts que fait Colli pour dégager Provera, le bat toute la journée, et réduit Provera au désespoir. Celui-ci finit par déposer les armes

J'ai reçu une lettre que m'a écrite le général Colli, qui commande l'armée du roi de Sardaigne, j'espère que la réponse que je lui ai faite (Voy. pag. 13) sera conforme

«Le général Colli, qui commande l'armée piémontaise, a demandé une suspension d'armes, en attendant les arrangements de paix qui seraient pris

Se retournant alors vers ses conseillers, ses ministres et ses généraux: Messieurs, dit-il, vous avez entendu le plan de campagne du baron? Tous firent signe que oui. Et tu l'approuves, Ariola? Oui, sire, répondit le ministre de la guerre. Tu l'approuves, Pignatelli? Oui, sire. Et toi, Colli? Oui, sire. Et toi, Parisi? Oui, sire.

Dans ces deux batailles, qui avaient pour but de séparer les deux armées piémontaise et autrichienne, le jeune général français bat complètement deux vieux guerriers consommés, les généraux Colli et Beaulieu. 16 avril. 17 avril. Le général Beaulieu est défait de nouveau.

Ce coup d'audace extraordinaire avait frappé les Autrichiens d'étonnement; mais malheureusement il devenait inutile. Colli et Wukassovich étaient parvenus