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Necker, averti que, dans cette assemblée, Calonne devoit accuser d'infidélité tous les comptes rendus avant son ministère, lui écrivit qu'ayant donné l'attention la plus scrupuleuse au compte qu'il avoit rendu en 1781, il le tenoit pour parfaitement juste; «et comme j'ai rassemblé, ajoutoit-il, les pièces justificatives de tous les articles qui en étoient susceptibles, je me trouve heureusement en état de prêter

La cour de Vienne semblait particulièrement désignée pour prendre l'initiative des secours que les souverains devaient au roi de France. Calonne fit valoir que l'empereur Joseph II, par considération pour sa soeur, la reine Marie-Antoinette, ne saurait les refuser. C'est donc

Calonne, avec une promesse assez légère de ne point attaquer ce compte, éluda l'éclaircissement. Necker insista, et, pour réponse

Necker fut exilé pour avoir osé se défendre. Ce fut encore un tort que se donna Calonne; il falloit ou l'entendre avant de l'attaquer, ou trouver juste et bon qu'il eût repoussé son attaque. Il lui imputoit son mauvais succès dans l'assemblée des notables; mais il devoit savoir que, dans cette assemblée, un ennemi bien plus réel travailloit

Lorsqu'elle se fut un peu assombrie en la société de mademoiselle de Taverney, madame de Misery vint lui annoncer que monsieur de Calonne attendait l'honneur d'être admis auprès d'elle.

Le roi poussa les hachures jusqu'au noir le plus opaque; mais il n'ajouta pas un mot: ses traits parlaient d'eux-mêmes. Monsieur de Calonne ayant exposé son plan, avec l'approbation de ses collègues, le roi prit le projet et le signa, bien qu'en soupirant. Maintenant que nous avons de l'argent, dit monsieur de Calonne en riant, dépensons.

Personne ne douta que le menteur ne fut Calonne. Il y eut un tolle! véhément contre lui, un cri universel pour Necker. L'effroi fut dans Versailles. Quelqu'un osa insinuer qu'il y aurait prudence

AVÈNEMENT DE LOUIS XVI. MAUREPAS, TURGOT ET NECKER, MINISTRES. CALONNE. ASSEMBL

»R. Huit jours après la bataille de Valmy, quand j'ai su de la bouche même de M. de Calonne que la retraite était décidée. »D. Pourquoi quittiez-vous la Champagne? »R. Parce qu'il n'y avait plus rien

Mainte opération de Calonne était de telle nature que tout pays gouverné par les lois lui aurait décerné le bagne. Sur des emprunts déj