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Quelque respect qu'elle eût pour la science et les aphorismes biologiques du docteur Oserel, elle cherchait plus volontiers ses règles de conduite dans sa petite théologie particulière, dont elle ne parlait jamais

Ici se présente une observation, d'une importance capitale pour la sociologie: les conditions les plus générales au milieu desquelles se produisent les phénomènes sociologiques sont les facteurs inorganiques et organiques; ce sont eux qui déterminent la structure et la dynamique des Sociétés d'une façon générale; ils ébauchent les corps sociaux dont les agents spéciaux achèveront en détail la physionomie et l'allure. Ces facteurs inorganiques et organiques, nous les avons compris sous la dénomination de: Territoire et Population; ils sont les plus constants et les moins variables. En somme, les conditions mathématiques, mécaniques, astronomiques, physiques, chimiques, biologiques et psychiques qui déterminent la structure et l'évolution des diverses parties de l'humanité, sur les divers points de notre globe, sont, sinon absolument identiques, dans tous les cas resserrées dans des limites de variation assez étroites; les oscillations de la vie tant individuelle que sociale s'écartent fort peu de la moyenne des conditions générales et, plus elles s'en éloignent, plus les phénomènes vitaux et sociaux deviennent rares

Sans avoir aucunement la prétention de bouleverser les sciences biologiques, mais simplement pour m'aider

Je me propose donc d'établir que la science des phénomènes de la vie ne peut pas avoir d'autres bases que la science des phénomènes des corps bruts, et qu'il n'y a sous ce rapport aucune différence entre les principes des sciences biologiques et ceux des sciences physico-chimiques. En effet, ainsi que nous l'avons dit précédemment, le but que se propose la méthode expérimentale est le même partout; il consiste

On a dit et répété que «l'intelligence n'a pas de sexeJe veux le croire; mais j'aime mieux encore cette remarque si juste de Fourier: «Il y a des hommes qui sont femmes par le coeur et la tête, et des femmes qui sont hommes par la tête et le coeurEn tout cas, il nous semble qu'étant donné l'état peu avancé des sciences biologiques, on abuse étrangement, pour ou contre la femme, des constatations évasives ou contradictoires de l'anthropologie comparée.

Donc les raisons d'être sont fixes. Quant aux lois contingentes qui régissent les mouvements physico-chimiques ou biologiques, ne dites pas qu'elles sont variables et «

Par ces deux ordres de considérations, les doctrines biologiques rachètent donc très complétement, sous le rapport anti-théologique ou antimétaphysique, la moindre perfection nécessaire de leur caractère scientifique en ce qui concerne la prévision systématique des phénomènes correspondans. Toutefois, quoique nous devions certainement regretter beaucoup,

§ VI. Pour arriver au déterminisme des phénomènes dans les sciences biologiques comme dans les sciences physico-chimiques, il faut ramener les phénomènes

En examinant cette relation fondamentale sous un point de vue plus spécial, il est aisé de sentir que les principaux raisonnemens biologiques exigent, par leur nature, un genre d'habitudes intellectuelles dont les spéculations mathématiques, soit abstraites, soit concrètes, peuvent seules procurer un heureux développement préalable. Je veux parler surtout de cette aptitude

Les propriétés de la matière vivante ne peuvent être connues que par leur rapport avec les propriétés de la matière brute; d'où il résulte que les sciences biologiques doivent avoir pour base nécessaire les sciences physico-chimiques auxquelles elles empruntent leurs moyens d'analyse et leurs procédés d'investigation. Telles sont les raisons nécessaires de l'évolution subordonnée et arriérée des sciences qui s'occupent des phénomènes de la vie. Mais si cette complexité des phénomènes vitaux constitue de très-grands obstacles, cela ne doit cependant pas nous épouvanter; car au fond, ainsi que nous l'avons déj