United States or Belgium ? Vote for the TOP Country of the Week !


Tout le monde est dans le secret! BARTOLO, haut. Eh bien, Bazile, votre homme de Loi?... Vous avez toute la soirée pour parler de l'homme de Loi. BARTOLO,

FIGARO, seul, sortant du cabinet. Oh! la bonne précaution! Fermes, fermes la porte de la rue, et moi je vais la r'ouvrir au Comte en sortant. C'est un grand maraud que ce Bazile! heureusement il est encore plus sot. Il faut un état, une famille, un nom, un rang, de la consistance enfin, pour faire sensation dans le monde en calomniant. Mais un Bazile! il médiroit qu'on ne le croiroit pas.

Qu'est-ce qu'il y a? Monseigneur, c'est monsieur Bazile entouré d'un village entier, parce qu'il chante en marchant. Qu'il entre seul. Ordonnez-moi de me retirer. Je n'oublie pas votre complaisance. Suzanne?... elle reviendra. (

Quelle nécessité qu'un Bazile?... Elle a toujours raison. Cependant il y a un certain Figaro

J'en tiens un au collet. C'est votre Notaire. C'est votre Notaire. Vous moquez-vous? Ah! Don Bazile. Eh, comment êtes-vous ici? Mais plutôt vous, comment n'y êtes-vous pas ? L'ALCADE, montrant Figaro. Un moment; je connais celui-ci. Que viens-tu faire en cette maison,

Allez vous coucher, mon cher Bazile: vous n'êtes pas bien, et vous nous faites mourir de frayeur. Allez vous coucher. Il a la phisionomie toute renversée. Allez vous coucher. D'honneur, il sent la fievre d'une lieue. Allez vous coucher. Pourquoi donc êtes-vous sorti? On dit que cela se gagne. Allez vous coucher. BAZILE, au dernier étonnement. Que j'aille me coucher? Eh! sans doute.

Eh! laissez-moi donc en repos, Bazile! Vous ne songez qu'

Il y a, mon ami, que las de courtiser les beautés des environs, monsieur le comte Almaviva veut rentrer au château, mais non pas chez sa femme; c'est sur la tienne, entends-tu, qu'il a jeté ses vues, auxquelles il espère que ce logement ne nuira pas. Et c'est ce que le loyal Bazile, honnête agent de ses plaisirs, et mon noble maître

Me ferez-vous bien le plaisir de me dire, Messieurs?... Vous lui parlerez quand je serai parti. Mais encore faudroit-il... Il faudroit vous taire, Bazile. Croyez-vous apprendre

Maintenant, mon Hedwige adorée, dit Grégoriska d'une voix affaiblie, écoute bien mes dernières instructions: quitte le pays aussitôt que tu pourras. La distance seule est une sécurité pour toi. Le père Bazile a reçu aujourd'hui mes volontés suprêmes, et il les accomplira. Hedwige! un baiser! le dernier, le seul, Hedwige! je meurs. Et, en disant ces mots, Grégoriska tomba près de son frère.