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Enfin, par des chemins détournés et des sentiers couverts, Roque, don Quichotte et Sancho partirent pour Barcelone avec six autres écuyers. Ils arrivèrent sur la plage la veille de la Saint-Jean, pendant la nuit; et Roque, après avoir embrassé don Quichotte et Sancho, auquel il donna les dix écus promis, qu'il ne lui avait pas encore donnés, se sépara d'eux après avoir échangé mille compliments et mille offres de service. Roque parti, don Quichotte attendit le jour

Le clapotement mystérieux de l'eau sur les froides parois des marbres, le pas pesant et mesuré des sbires sur le quai, le cri aigu et presque enfantin des mulots, qui se poursuivent et se querellent sur les dalles limoneuses, enfin tous les bruits furtifs et singuliers qui troublent faiblement le morne silence des nuits de Venise, ne ressemblent en rien au bruit monotone de la mer, au quien vive des sentinelles et au chant mélancolique des serenos de Barcelone.

On expose d'abord dans cet acte les prétentions du roi de France sur les comtés de Barcelone, d'Urgel, de Roussillon, de Cerdagne, de Gironne, d'Ausone, et sur toutes leurs dépendances. En second lieu, les prétentions du roi d'Aragon sur Carcassonne, Albi, Toulouse et autres places ci-dessus nommées, et sur toutes leurs dépendances. Ensuite il est déclaré que le roi de France, par accord fait avec le roi d'Aragon, renonce, pour lui et pour tous ses successeurs,

[Note 14: Lorsque nous allions de Barcelone

Note 773: D'Osque. Ce mot est encore de trop, et notre traducteur a mal entendu toute cette phrase qui présente en effet quelque obscurité. C'est l'armée sarrasine envoyée au secours de Barcelone, qui, apprenant

Par de telles alliances les Génois étaient impliqués dans les intrigues et mêlés aux querelles des pays qu'ils fréquentaient. Rodoan de Mauro, consul, fit un traité avec Alphonse II, roi d'Aragon, comte de Barcelone. Ce roi avait enlevé

[Note 281: Barcelone, un des principaux ports d'Espagne, renommée pour ses barques, étoit célèbre dans les fastes de la navigation. C'est l

Adieu, mon cher ami, écrivez-moi de Barcelone. Je crois avoir un peu de fièvre et je me suis imposé la loi de ne rien faire aujourd'hui. C'est pourquoi je m'arrête, en vous renouvelant l'expression de mon amitié. Paris, 20 décembre 1846.

Au centre, il y avait la grande cité de Toulouse, république sous un comte. Les domaines de celui-ci s'étendaient chaque jour. Dès la première croisade, c'était le plus riche prince de la chrétienté. Il avait manqué la royauté de Jérusalem, mais pris Tripoli. Cette grande puissance était, il est vrai, fort inquiétée. Au Nord, les comtes de Poitiers, devenus rois d'Angleterre, au midi la grande maison de Barcelone, maîtresse de la Basse-Provence et de l'Aragon, traitaient le comte de Toulouse d'usurpateur, malgré une possession de plusieurs siècles. Ces deux maisons de Poitiers et de Barcelone avaient la prétention de descendre de saint Guilhem, le tuteur de Louis-le-Débonnaire, le vainqueur des Maures, celui dont le fils Bernard avait été proscrit par Charles-le-Chauve. Les comtes de Roussillon, de Cerdagne, de Conflant, de Bézalu, réclamaient la même origine. Tous étaient ennemis du comte de Toulouse. Il n'était guère mieux avec les maisons de Béziers, Carcassonne, Albi et Nîmes. Aux Pyrénées, c'étaient des seigneurs pauvres et braves, singulièrement entreprenants, gens

La nièce du comte de Montpellier était dame de la petite ville de Melgueil (Magdelonne); elle avait épousé le comte de Provence frère du comte de Barcelone. Les Provençaux étaient alors en hostilité avec les Génois qui leur reprochaient de favoriser les fréquents soulèvements de Vintimille. Le comte de Provence eut peu d'égards pour les alliés de son oncle; il arma contre eux, et essaya de prendre leurs navires