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Cependant le progrès des choses aurait au contraire exigé de nouvelles ressources. La désharmonie de l'empire anglais n'avait jamais été plus loin. Cet empire se composait de populations qui toutes s'étaient fait la guerre avant d'être réunies sous un même joug. La Normandie ennemie de l'Angleterre avant Guillaume, la Bretagne ennemie de la Normandie, et l'Anjou ennemi du Poitou, le Poitou qui réclamait sur tout le Midi les droits de duché d'Aquitaine, tous maintenant se trouvaient ensemble, bon gré mal gré. Sous les règnes précédents, le roi d'Angleterre avait toujours pour lui quelqu'une de ces provinces continentales. Le Normand Guillaume et ses deux premiers successeurs purent compter sur la Normandie, Henri II sur les Angevins, ses compatriotes; Richard Coeur-de-Lion plut généralement aux Poitevins, aux Aquitains, compatriotes de sa mère,

Restaient en Gaule les Aquitains, c'est-

Ce déchirement infaillible et nécessaire de l'empire anglais se trouva provoqué d'abord par la rivalité de Jean et d'Arthur son neveu. Celui-ci, fils de l'héritière de Bretagne et d'un frère de Jean, avait été dès sa naissance accepté par les Bretons, comme un libérateur et un vengeur. Ils l'avaient, malgré Henri II, baptisé du nom national d'Arthur. Les Aquitains favorisaient sa cause. La vieille

Si præceptum est, potestOrigène aussi ne demandait pour la perfection que «la liberté aidée de la loi et de la doctrine». 38 page 106, note ... les dévoués des Galls et des Aquitains... Cæsar, B. Gall, l. III, c. XXII: «Devoti, quos illi soldurios appellant... Neque adhùc repertus est quisquam qui, eo interfecto, cujus se amicitiæ devovisset, mori recusaretAthenæus, l. VI, c.

Cependant le progrès des choses aurait au contraire exigé de nouvelles ressources. La désharmonie de l'empire anglais n'avait jamais été plus loin. Cet empire se composait de populations qui toutes s'étaient fait la guerre avant d'être réunies sous un même joug. La Normandie ennemie de l'Angleterre avant Guillaume, la Bretagne ennemie de la Normandie, et l'Anjou ennemi du Poitou, le Poitou qui réclamait sur tout le Midi les droits du duché d'Aquitaine, tous maintenant se trouvaient (p. 062) ensemble, bon gré mal gré. Sous les règnes précédents, le roi d'Angleterre avait toujours pour lui quelqu'une de ces provinces continentales. Le Normand Guillaume et ses deux premiers successeurs purent compter sur la Normandie, Henri II sur les Angevins ses compatriotes; Richard Coeur de Lion plut généralement aux Poitevins, aux Aquitains, compatriotes de sa mère

Il n'est pas certain que, sans l'alliance des Carolingiens et de la papauté, les Austrasiens, les Aquitains, les Lombards, les Bavarois, les Saxons n'auraient pas trouvé la façon de vivre qui leur convenait, qu'ils ne se seraient pas tout aussi bien pénétrés de l'esprit chrétien, en appropriant la religion, comme ils devaient le faire plus tard,

Ce déchirement infaillible et nécessaire de l'empire anglais se (p. 063) trouva provoqué d'abord par la rivalité de Jean et d'Arthur son neveu. Celui-ci, fils de l'héritière de Bretagne et d'un frère de Jean, avait été dès sa naissance accepté par les Bretons, comme un libérateur et un vengeur. Ils l'avaient, malgré Henri II, baptisé du nom national d'Arthur. Les Aquitains favorisaient sa cause. La vieille

Alors il recommença avec avantage la guerre contre les Aquitains, qu'il pouvait désormais tourner du côté de l'Est. «Après que le pays se fut reposé de guerres pendant deux ans, le roi Pepin envoya des députés

La réconciliation des rois de Bourgogne et d'Ostrasie découragea le parti de Gondovald. Les Aquitains montrèrent autant d'empressement

La guerre fut lente, sanglante, destructrice. Plusieurs fois les Aquitains et Basques, dans des courses hardies, pénétrèrent jusqu'