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Cap rompit le silence, et sa première phrase fut pour me plaindre de revenir en cette bureaucrateuse et méphitique Europe, surtout dans cette burlesque France , selon la forte parole du Captain, il est interdit d'être soi-même. Cap parlait, parlait autant pour cacher sa très réelle émotion que pour exprimer, en verbes définitifs, ses légitimes revendications.

Un peu plus loin, le même auteur, s'appuyant sur les données de la linguistique, ajoute une seconde observation. Dans les langues sauvages, les verbes ont parmi tous les mots une place prépondérante. Or, qu'expriment les verbes? sinon l'action, le mouvement, la vie, le raisonnement, le sentiment, qui n'ont rien

Ajoutons seulement, ce que ne dit pas Gyarmathi, que ce caractère se retrouve dans beaucoup de langues asiatiques: il se retrouve en turc de même qu'en hongrois. Turc. Hongrois. ana anya mère anám anyám ma mère Nous arrivons aux verbes, aux postpositions, aux adverbes. Ici l'embarras de l'auteur redouble.

Nous avons parcouru l'ouvrage de Gyarmathi. Après les verbes et les pages d'exemples, viennent, sous le nom de syntaxe, quinze observations qui ne peuvent nullement satisfaire le lecteur, car la syntaxe hongroise est d'une étonnante originalité et repousse toute comparaison; puis soixante pages de mots qui passent pour semblables.

Ces deux mots sont mes verbes suprêmes, Car étant ton Dieu tout-puissant, je peux vouloir, Mais je ne veux d'abord que pouvoir que tu m'aimes. Seigneur, c'est trop? Vraiment je n'ose. Aimer qui? Vous? Oh! non! Je tremble et n'ose. Oh! vous aimer je n'ose, Je ne veux pas! Je suis indigne. Vous, la Rose Immense des purs vents de l'Amour, ô Vous, tous

L'un d'eux était d'avis, pour abréger le discours, de réduire tous les mots en simples monosyllabes et de bannir tous les verbes et tous les participes.

Avec d'effroyables défauts et un tapage insupportable de style, il est écrivain de race et maître de sa phrase. Il a le mouvement et la couleur. Qu'on lui passe ses manies bruyantes, qu'on lui pardonne sa rage de fabriquer des verbes comme luner, rener, ceinturer, et l'on rencontrera ç

Ils disent l'odeur et le doux parfum de la victoire; ils font un fréquent et singulier usage des verbes verser et puiser; ils osent dire: «L'échanson de la mort s'approcha d'eux avec la coupe du trépas: il en arrosa le jardin de leur vie, et ils furent anéantis» . William Jones, ibid., cap. 6, p. 138.

La langue éthiopienne a un terme générique correspondant aux termes amictus et [Grec: ephestris] désignant, comme chez les anciens Romains et Grecs, tout vêtement de dessus, le substantif éthiopien étant au verbe qui a la même racine, absolument dans les mêmes rapports que les mots amictus et [Grec: ephestris], aux verbes amicire et [Grec: ephennusthai]. Ils emploient ce substantif pour désigner la pièce la plus importante de leur costume, celle qui le caractérise et justifie l'expression de gens togata qu'ils s'appliquent avec complaisance. Leur toge, en tissu de coton blanc, comme la toge antique

«Les terminaisons des verbes ne changent jamais, les variations s'expriment par des mots ajoutés. Il y a souvent des transpositions singulières de syllabes de différens mots; en voici un exemple. Ogila signifie feu, et Cawaunna, grand; au lieu d'ajouter au premier mot, le dernier, pour dire un grand feu, on mêle les deux ensemble pour n'en faire qu'un seul, et l'on dit Co-gila-waunna. Il existe entre toutes les langues indiennes depuis la baie d'Hudson jusqu'au détroit de Magellan une analogie qui mérite d'être observée; c'est une disparité totale dans les mots