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Le sadisme n'est donc qu'une exagération pathologique de certains phénomènes accessoires de la vita sexualis qui peuvent se produire dans des circonstances normales, surtout chez le mâle. Naturellement, il n'est pas du tout nécessaire, et ce n'est pas la règle, que le sadiste ait conscience de ces éléments de son penchant. Ce qu'il éprouve, c'est uniquement le désir de commettre des actes violents et cruels sur les personnes de l'autre sexe, et une sensation de volupté rien qu'en se représentant ces actes de cruauté. Il en résulte une impulsion puissante

Comme la femme a moins de besoins sexuels que l'homme, une augmentation de ces besoins chez elle doit toujours faire supposer un cas pathologique, surtout quand ils se manifestent par l'amour de la toilette, par la coquetterie ou même par l'andromanie, et font dépasser les limites tracées par les convenances et les bonnes moeurs.

L'investigation thérapeutique rentre exactement dans les mêmes règles que l'investigation physiologique et pathologique. Tout le monde sait que le hasard a été le premier promoteur de la science thérapeutique, et que c'est par hasard qu'on a observé les effets de la plupart des médicaments.

Groin. La prononciation offre ici le même cas pathologique que pour grief; elle représente par deux syllabes une syllabe unique du latin. En effet groin vient de grun-nire, qui a donné grogn-er, grogn est monosyllabique comme cela doit être. La vieille langue n'avait pas, bien entendu, cette faute; elle était trop près de l'origine pour se méprendre.

Le sommeil normal et le sommeil pathologique. Sidis a fait dans le laboratoire de Münsterberg,

D'après les faits observés jusqu'ici, le fétichisme pathologique paraît ne se produire que sur le terrain d'une prédisposition psychopathique et héréditaire ou sur celui d'une maladie psychique existante. De l

Mais le fétichisme des choses ou des vêtements peut, dans tous les cas, être considéré comme un phénomène pathologique, son objet se trouvant en dehors de la sphère des charmes normaux de l'instinct génital.

Pour l'un, c'est le corps; pour l'autre, c'est l'âme qui constituent le fétiche: l'amour de tous les deux n'est que du fétichisme. De pareils individus forment en tous cas un degré de transition vers le fétichisme pathologique. Cette remarque est d'autant plus juste qu'un autre critérium du véritable amour est celui-ci: l'acte sexuel doit absolument procurer une satisfaction morale .

Tandis qu'on peut considérer le sadisme comme une excroissance pathologique du caractère sexuel viril dans ses particularités psychiques, le masochisme est plutôt une excroissance morbide des particularités psychiques propres

On s'explique facilement que le sadisme, perversion fréquente chez l'homme, ainsi que nous l'avons constaté, soit de beaucoup plus rare chez la femme. D'abord, le sadisme dont un des éléments constitutifs est précisément la subjugation de l'autre sexe, n'est, en réalité, qu'une accentuation pathologique de la virilité du caractère sexuel; ensuite, les puissants obstacles qui s'opposent